La plupart des pays occidentaux ont imposé une politique de confinement et ont fermé les écoles et les entreprises jugées non essentielles. Sous prétexte d’une guerre contre un ennemi invisible, les gouvernements de ces pays (Italie, Espagne, France, Étatis-Unis, Canada) ont limité les libertés civiles et économiques de leurs populations.
Mais, selon le Dr Mihai Macovei, chercheur associé à l’Institut Ludwig von Mises, en Alabama, certains pays asiatiques n’ont pas fait la même chose que leurs homologues de l’Ouest. Le Japon, la Corée du Sud, Hong Kong et Taiwan ont rapidement réagi face au coronavirus communiste en faisant beaucoup de tests et en isolant seulement les personnes infectées par le virus. Ces pays ont pu éviter une contagion majeure et le nombre d’infectés demeure bas jusqu’à maintenant. Les activités sociales et économiques se sont poursuivies normalement.
La Corée du Sud a fait 300 000 tests avec une moyenne de 10 000 par jours jusqu’à la mi-mars. Cette approche a permis à la Corée du Sud de gagner la bataille contre cette maladie provenant de la Chine.
Est-ce que la politique de confinement et la fermeture de l’activité économique de l’Occident étaient vraiment nécessaires dans cette guerre contre la COVID-19 ?
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