Opinion | Possible victoire de Joe Biden : un coup d’État médiatique?
À moins de vivre au plus profond d’une grotte, il était impossible d’échapper au tremblement de terre qu’a causé les élections américaines. Avec une lutte
À moins de vivre au plus profond d’une grotte, il était impossible d’échapper au tremblement de terre qu’a causé les élections américaines. Avec une lutte
Entrevue avec Guy Millière, essayiste français et Senior Fellow au Gatestone Institute, New York. Donald Trump affirme que les démocrates tentent de voler l’élection avec
L’élection présidentielle de 2020 est la plus serrée depuis celle de 2000. Moins de 1% sépare Biden et Trump dans quatre États, l’Arizona (Biden 49.5%
Au Québec, on peut dire qu’on ne passe pas souvent à côté d’une occasion de se dire non. Cette fois-ci on a un grand projet
Tous les sondages estimaient que Joe Biden allait facilement battre Trump et devenir président des États-Unis.
Au moment d’écrire ces lignes, c’est encore le chaos aux USA dans le comptage des votes. L’intégrité du processus électoral sérieusement atteinte, pas seulement aux États-Unis, mais bientôt partout.
Olivier Jolicoeur est étudiant en géographie environnementale à l’Université de Montréal. À l’affut de l’actualité sociale et politique, il s’intéresse aux enjeux qui touchent l’identité,
La gauche a toujours revendiqué son opposition farouche aux gros capitaux et aux élites de Wall Street comme un point clé de leur lutte pour l’égalité et l’équité, mais cette élection est différente. Cette fois-ci, la gauche semble être fière du fait que Joe Biden, le candidat ultime de l’establishment, ratisse de gros sous auprès de puissants donateurs.
Comment expliquer la situation actuelle sans pour autant décrier des mesures, poser des questions, et appliquer des solutions. Jamais un premier ministre au Québec n’aura eu un tel mandat. Nous avons donné nos votes à un parti qui voulait changer les choses, proposer de nouvelles idées et finalement entraîner le Québec avec lui dans son héritage culturel.
Contrairement à 2016, les électeurs américains connaissent maintenant le risque d’une présidence Trump. Au-delà des tweets et des bourdes de protocole, la catastrophe annoncée ne s’est pas matérialisée. D’ailleurs, une majorité d’Américains se considèrent en meilleure position qu’il y a 4 ans.
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