Ce qui devait arriver arriva. Un criminel sexuel très dangereux utilise les excès du militantisme woke pour écourter sa sentence en prison.
Voici l’histoire de Jody Matthew Burke, un homme qui a agressé sexuellement une femme à plusieurs reprises avec un couteau sous la gorge. Les psychiatres évaluent son risque de récidive à ‘très élevé’. Un pareil personnage n’a pas sa place en liberté !
Après avoir changé huit fois d’avocat, le voilà avec une nouvelle défense : il serait une femme !
Lisez bien ces extraits de nouvelles, ça ne s’invente pas :
Or Burke, qui affirme s’être rendu compte de sa véritable identité sexuelle en 2019, 2020 ou 2021-son témoignage n’est pas clair à cet effet – réclame plutôt d’être déclaré « délinquant à contrôler », ce qui lui vaudrait une peine plus clémente. Son avocate compte faire témoigner un expert qui viendra expliquer, lors d’une prochaine audience, que son passé violent est lié à sa « dysphorie de genre », une détresse liée à l’opposition entre son sexe assigné à la naissance et son identité de genre réelle.
(…)
D’une carrure impressionnante, Burke a admis qu’il prend toujours de la testostérone en prison et affirmé qu’il tarde à prendre de l’hormonothérapie par « crainte des autres détenus » et des possibles attaques que lui vaudrait un changement de sexe en milieu carcéral.
Source : La Presse.
Personne ne devrait être surpris de cette histoire. Quand un certain discours affirme que de faire un lien entre le genre et l’apparence physique d’une personne relève de la transphobie, nous sommes devant un délire qui progresse avec de graves conséquences principalement pour les femmes.
L’absence de limite est la porte ouverte aux excès.
Québec Nouvelles
Qu’une personne fasse une transition pour changer de sexe, soit. C’est correct et il faut respecter la nouvelle identité de ces gens. Par contre, ce n’est pas car l’on se proclame quelque chose qu’on l’est forcément.
Je peux m’auto-proclamer américain, on ne me donnera pas une carte verte pour autant !
Même principe ici, ce n’est pas vrai qu’un douchebag sortis du fin fond du toxiquistan va s’en sortir en utilisant à son avantage le wokisme.
En fait, cette situation est très possible ! Ce jugement sera à suivre. Déjà qu’il y ait un ‘expert’ qui va venir raconter cette salade devant un juge devrait nous en dire beaucoup sur la crédibilité de certains. Cet »expert » doit être rayé de son ordre professionnel !
Pendant ce temps, voici ce que la victime a à dire.
Brigitte Jobin, qui a écrit un livre sur son expérience d’horreur avec Burke, ne croit pas un mot de ce qu’il affirme. « Je pense que c’est de la manipulation. Il fait ça pour s’éviter l’étiquette de délinquant dangereux, qui va le suivre toute sa vie », soutient-elle.
« Le juge n’a rien cru de son histoire tout au long du procès, alors il essaie une autre tactique en affirmant que toute sa violence est provoquée par sa dysphorie de genre », croit-elle.
Voici le bon sens. Sera-t-elle accusé de transphobie car elle mégenre un agresseur sexuel ?
La classe politique doit réagir et vite ! Il est temps d’encadrer le wokisme avant qu’il ne fasse plus de victimes !
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