Depuis quelques jours, cela fait les manchettes : un certain nombre de députés (nous ne savons toujours pas lesquels), seraient impliqués dans un scandale d’avoir transmis des informations à des gouvernements étrangers. Pendant ce temps à Montréal, des islamistes profitent des manifestations pour Gaza afin de s’approprier la rue pour y faire la prière. Un homme dénonce cette situation, et c’est le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet. En quoi a-t-il raison? C’est ce que nous allons voir.
Bien sûr, le Bloc Québécois, comme n’importe quel parti politique, est loin d’être parfait. Par exemple lorsqu’il vote en faveur des taxes sur le carbone qui coûtera cher à de nombreux Canadiens hors Québec, mais là-dessus, Yves-François Blanchet a raison de mettre le doigt là-dessus : l’ingérence étrangère, et la peur des autres partis fédéraux d’offenser des communautés culturelles.
Les libéraux, le NPD et même les conservateurs courtisent le vote des communautés culturelles. Le Bloc est le seul parti fédéral à ne pas pouvoir compter sur ce vote afin de gagner des sièges. Là-dessus, nous sommes heureux de voir la lucidité du Bloc Québécois. Dans son tweet, Yves-François Blanchet se demande si le Canada ne serait pas devenu une zone de non-droit.
Les partis fédéraux sont obligés de plaire à des segments radicaux de l’électorat issu de la « diversité », pendant que d’honnêtes citoyens sont intimidés par des gouvernements étrangers. C’est notamment le cas de la Chine, mais aussi de l’Inde, de l’Iran et d’autres pays, soupçonné de mener des opérations en sol canadien pour y intimider une partie de sa diaspora, mais aussi obtenir des secrets de la part de députés demeurés loyaux à leur ancienne mère-patrie.
À Montréal, nous avons assisté pour la première fois à une prière de rue au centre-ville. Des manifestants, profitant du chaos régnant près du campus de l’Université McGill, se sont mis à prier comme le font les islamistes aux quatre coins de l’Europe. Bien sûr, il s’agit d’une minorité au sein des musulmans du Québec, mais cette minorité se sent pousser des ailes depuis le conflit à Gaza. Ainsi, elle se permet maintenant de prendre la rue, mais aussi des parcs pour faire la prière. Prière qui devrait rester confinée à des lieux privés dédiés à ça.
Est-ce vraiment ce dont nous voulons comme pays? Bien sûr que non. Personne ne veut réellement de ça. Mis à part des politiciens qui ne pensent uniquement qu’en termes de gains immédiats, sans se soucier des conséquences à long terme de telles politiques d’immigration. Aucun pays dans le monde ne semble non plus traiter avec une telle légèreté la violation de ses secrets d’État que le Canada de Justin Trudeau.
En Chine, aucun représentant politique accusé d’avoir pactisé avec une puissance étrangère ne serait resté en poste. Il est possible que ces individus soient jetés à la vindicte populaire lors d’un procès médiatisé. Sans pour autant tomber dans la paranoïa des régimes russes et chinois, comment faisons-nous pour tolérer une telle situation? C’est bien là la faiblesse du Canada « postnational » de Justin Trudeau. Un pays traité comme un hôtel par ses invités. Peu importe qu’ils volent des meubles ou qu’ils vandalisent la chambre. Ce n’est pas eux qui vont payer la facture au final.
Depuis quelques jours, nous parlons beaucoup de l’affaire Irwin Cotler, ancien ministre fédéral de la…
La récente exclusion de Randy Boissonault du Conseil des ministres fédéraux a largement été relayée…
Traduit de l’anglais. Article de Adrian Ghobrial publié le 14 novembre 2024 sur le site…
Le ministre fédéral de l'Emploi, du Développement de la main-d'œuvre et des Langues officielles était…
La vingt-neuvième "Conférence des partis" pour le climat (COP29) se déroule depuis déjà une semaine…
Ce matin, le gouvernement du Québec a annoncé son intention d'interdire le gaz naturel pour…