« La nouvelle RELIGION environnementale est de plus en plus APOCALYPTIQUE, DESTRUCTIVE et CONTRE-PRODUCTIVE »

Dans son nouveau livre Apocalypse Never, Michael Shellenberger déboule plusieurs mythes des alarmistes du climat et ce dernier corrige le tir.

« Curieusement, les personnes les plus alarmistes à l’égard des problèmes ont également tendance à s’opposer aux solutions évidentes. »

Comme plusieurs, Shellenberger a longtemps gardé le silence, de peur d’être ostracisé.

« Je suis resté silencieux sur la campagne de désinformation sur le climat parce que j’avais peur de perdre des amis et des financements. Les rares fois où j’ai eu le courage de défendre la science du climat contre ceux qui la dénaturent, j’ai subi de dures conséquences. C’est pourquoi je suis resté pratiquement sans rien faire, alors que mes collègues environnementalistes terrifiaient le public. »

Rapidement, il s’est posé des questions sur la montée des discours radicaux et sur leurs fondements scientifiques douteux.

« Qu’est-ce qui se cache réellement derrière la montée de l’environnementalisme apocalyptique ? Il y a des intérêts financiers puissants. Il y a des désirs de statut et de pouvoir. Mais surtout, il y a un désir de transcendance chez les personnes soi-disant laïques. Cette impulsion spirituelle peut être naturelle et saine. Mais en prêchant la peur sans amour, et la culpabilité sans rédemption, la nouvelle religion ne parvient pas à satisfaire nos besoins psychologiques et existentiels les plus profonds. »

Shellenberger découvre qu’il y a des intérêts financiers derrière les campagnes de peur, et que ces intérêts justifient le discours alarmiste qui n’est pas fondé sur la science.

« Dans les trois derniers chapitres de Apocalypse Never, j’expose les motivations financières, politiques et idéologiques. Les groupes environnementaux ont accepté des centaines de millions de dollars provenant des intérêts des combustibles fossiles. Des groupes motivés par des croyances anti-humanistes ont forcé la Banque mondiale à cesser d’essayer de mettre fin à la pauvreté et à rendre la pauvreté « durable ». Et l’anxiété liée au statut, la dépression et l’hostilité à la civilisation moderne sont à l’origine d’une grande partie de l’alarmisme. »

Pour en lire davantage: https://environmentalprogress.org/big-news/2020/6/29/on-behalf-of-environmentalists-i-apologize-for-the-climate-scare

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