La soumission à la Chine n’est pas une option

Avec la spectaculaire pandémie de COVID-19, les chants lyriques de la mondialisation heureuse se sont tus. La pandémie, tels les écrits sacrés, fait office de révélation ; la Chine est progressivement en train de prendre le contrôle des institutions internationales afin d’instituer son hégémonie. Alors que les États-Unis occupaient tout récemment cette position suprême, l’Empire du Milieu a profité de la place vacante afin d’imposer son agenda à l’ordre mondialiste. Tedros Adahnom Ghebreyesus, le pantin de l’Organisation mondiale de la santé, en est un symbole frappant. Après tout, c’est un secret de polichinelle qu’il est un vulgaire pion de la Chine, vouant son allégeance à l’idéologie communiste.

L’élection de Donald Trump en 2016 est particulièrement significative, puisqu’elle signe le retrait des États-Unis quant aux accords mondiaux, le tout afin de se concentrer essentiellement sur la nation, notamment les classes populaires, défavorisées par les contraintes de la mondialisation. Ce retrait a eu comme conséquence de laisser un vide, ce qui a permis à la Chine de se glisser furtivement afin d’imposer ses préceptes à l’ordre mondial. En conséquence, l’Onu n’a absolument plus une once de crédibilité. Permettre à un régime totalitaire de louanger les droits de l’homme est d’un ridicule sans pareil. Les institutions mondialistes sont désormais totalement corrompues.

La solution à cette pathologie, c’est de redonner la souveraineté nationale à notre patrie. Il faut se retirer des accords mondialistes et rejeter notre participation à toute forme de coordination mondiale. Il ne faut pas jouer le jeu de la Chine, sur son terrain ; il faut au contraire l’attaquer de plein fouet, et ce à l’aide des forces de la patrie. C’est pourquoi, tout comme les États-Unis, il faut délaisser le champ mondial afin de récupérer nos pouvoirs et leviers nationaux. Si la mondialisation représente de plus en plus l’emprise de la Chine communiste, alors le patriotisme des forces occidentales représente notre salut. Il faut récupérer notre souveraineté, concerter les grandes puissances occidentales et mettre la pression sur la Chine.

Cependant, le plus haut dignitaire de notre pays, Justin Trudeau, est un homme profondément faible qui embrasse les dogmes de la mondialisation heureuse. Courbant l’échine, le regard vers le sol, il est tout simplement incapable de critiquer les agissements sulfureux de la Chine. Il faut bien être conscient de cette situation ; avec Justin Trudeau au pouvoir, le Canada est un terreau fertile pour la soumission à la Chine. De plus en plus, la mondialisation deviendra synonyme du pouvoir chinois. La Chine communiste est le premier exportateur de l’économie mondiale, elle possède des incitatifs redoutables afin de faire plier les hauts dirigeants. Son charme provient notamment de ses capacités économiques fulgurantes, au point même de paraître comme une incarnation terrestre de Dieu, selon certains politiciens africains.

C’est pourquoi, le Canada nécessite impérativement un homme droit et fort afin de gouverner le pays et résister à la soumission chinoise. Il faut rapatrier les pouvoirs vers la patrie et récupérer l’entière souveraineté nationale, afin de lutter contre le pouvoir chinois. Jouer le jeu de la mondialisation est peine perdue ; les institutions mondiales sont corrompues jusqu’à l’os, elles sont en déperdition. Le fait que la Chine, un régime totalitaire et tyrannique, soit désormais l’emblème de la mondialisation signifie une pure corruption en acte. C’est pourquoi, le Canada doit ériger un chef charismatique, récupérer sa souveraineté nationale et se concerter avec les puissances occidentales, notamment les États-Unis. En cette ère où l’Empire du Milieu cherche à dominer l’humanité, le Nouveau monde a un rôle à jouer, et ce afin de protéger cette précieuse liberté, si chèrement acquise et pourtant si fragile.

Félix Racine

Félix Racine est présentement étudiant à l'université en Science politique et Philosophie. Attentif à l'actualité politique et sociale, il dénonce le politiquement correct qui affecte l'espace médiatique, politique et académique.

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