• partager
Share on facebook
Share on twitter
Share on email

La vie après la pandémie, le monde ne sera jamais plus pareil !

Share on facebook
Share on twitter
Share on email
Avec la pandémie, le monde a changé. Un virus sournois est apparu et changea la face de la Terre.
Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on reddit
Share on email

Avec la pandémie, le monde a changé. Un virus sournois est apparu et changea la face de la Terre. Cela représente un coup de semonce, un avertissement et une revanche sur nos erreurs. La vie d’aujourd’hui se traduira par l’effroi, la méfiance et la solitude, que de désirs inassouvis, que de rêves inachevés, que de mirages dans ce désert de contradiction.

Jamais plus la Terre ne sera comme avant. La peur de s’agglutiner dans les métros et les autobus. La méfiance devant une personne qui tousse ou renifle. L’inimaginable peur de connaître à nouveau le repli sur nous même. La vie s’est arrêtée depuis bientôt un an et rien ne change. La victoire est encore loin et la libération n’est pas pour demain. Les enfants ont oublié leurs amis, tenus éloignés de peur d’être contagieux. Les acheteurs restreignent leurs envies et la société retient son souffle et cherche l’air frais dont elle manque. Il n’y a plus de découvertes nouvelles, car il n’y a plus de visiteurs qui souhaitent découvrir. Il n’y a plus de sillons dans le ciel et les complotistes ne peuvent plus dire dorénavant que la pollution machiavélique vient du ciel, car les avions ne se croisent plus dans le ciel, faute de passagers.

Les édifices se dégradent, car plus personne ne foule leurs marches. Les travailleurs n’achètent plus de vêtements, car ils ne sortent plus pour se rendre au bureau. Le télétravail est devenu la norme. Les restaurateurs, désireux de servir les clients du midi, font le pied de grue devant les terrasses désertes. Les hôteliers attendent impatients devant leurs comptoirs et les quelques clients obtiennent un traitement royal. Des hôtels changent de vocation pour devenir des lieux temporaires aux voyageurs qui cherchent le soleil. Les jeunes doivent redoubler d’efforts et de concentration pour parvenir à suivre à distance des cours qu’ils jugent inutiles. Les professeurs n’étaient pas prêts pour un virage aussi brutal. Le monde de la santé repousse des opérations pourtant prioritaires pour s’assurer de servir les plus malades.

Une société qui a changé pour toujours. Une société avec de nouveaux défis et de nouvelles réalités. Nous avons une occasion rêvée pour repenser nos coutumes, améliorer nos liens avec les autres, redéfinir nos priorités et enfin guérir de cette pandémie qui nous a tant contraints.

Quel souhait pourrions-nous faire collectivement ? Il y a eu moins de voyageurs. Ils recommenceront à voir le monde une fois que cette crise sera terminée. Nos jeunes ont besoin de bouger. Réduisons nos besoins du numérique qui ont hautement augmenté durant la pandémie. Nous resterons loin des câlins pour un certain temps, les poignées de main et les baisers sur la joue ne seront plus la mode, mais recommençons à sourire, les masques seront tombés tout comme les tabous.

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on reddit
Reddit
Share on email
Email

Les nouvelles à ne pas manquer cette semaine

  • Vous aimeriez aussi

Assistons-nous au grand retour des libéraux?

Il ne faut pas donner l’ours pour mort avant de l’avoir tué. Cet adage qui témoigne d’une sagesse populaire s’applique bien évidemment à la politique

Jour de la Terre : c’est quoi, en faire assez?

Malgré les décennies qui passent et les modalités profondément changeantes des enjeux environnementaux, on a toujours droit aux mêmes slogans dans les manifestations écologistes. À

  • Nouvelles semblables

Le vrai leadeur ne contrôle pas le peuple mais cherche à l’inspirer !

C’est en subissant un de ces trop nombreux points de presse, que l’idée m’est venue d’essayer de définir ce qu’est un vrai leadeur aujourd’hui. Histoire de voir si on n’a pas été bernés depuis deux mois, et parce que plusieurs pensent qu’on s’est fait charrier et pas rien qu’un peu.

Trudeau le Clown

Le clown qui cherchait à acheter des votes

Il était une fois un clown qui, miraculeusement, aura réussi à se hisser jusqu’au sommet de l’appareil gouvernemental du pays, tout en étant sur le fond un pur idiot. Balbutiant dans un français incompréhensible, incapable de comprendre la réalité sommaire, force est de constater qu’il occupe un trône bien trop grand pour lui. Le clown ne doit le mérite de sa réussite politique qu’à un seul facteur ; le sang. Si ce n’était de Pierre-Elliot Trudeau, alias « just watch me », le clown serait resté dans sa zone de confort, c’est à dire les pitreries. Qu’un tel homme gouverne un pays demeure une énigme insurmontable.

  • Autres articles de Claude Roy