L’acharnement d’une certaine gauche contre les « conservateurs » en dit long sur leur désespoir

Nous nous disions à un moment donné qu’une certaine gauche, celle du wokisme, allait sûrement faire preuve d’introspection quant à sa stratégie désastreuse. Face à une montée du conservatisme, cette gauche fanatisée ne semble pas vouloir lâcher l’affaire. Qu’est-ce que ça dit sur son désespoir actuel? Et surtout son intransigeance jusqu’au-boutiste?

On a beau chercher des preuves de repentance, d’autocritique, on ne trouve rien. Sur les sites tels que Pivot ou les nombreux podcasts qui polluent notre vie culturelle, on cherche, mais en vain. Non seulement ça, mais cette gauche essaie toujours de trouver des excuses. Si Trump a été réélu, ce n’est pas notre faute, mais celle du réseau social X et de sa « désinformation ».

Peu importe que Kamala Harris ait été une mauvaise candidate. Qu’elle n’ait rien eu à dire, au point que les médias, qui ont tenté de créer une vague en sa faveur, aient été incapables de justifier à quel point celle-ci était vide. Mais bon, c’est tellement plus commode de s’en prendre à Elon Musk, ou à une « réaction » conservatrice.

Au Québec, nous ne sommes pas mieux. Urbania continue de verser dans un wokisme des plus ridicules. Celui-ci essaie de nous ramener Mathieu Bock-Côté comme figure ultime de la « droite » au Québec. Comme une sorte d’épouvantail pour faire peur aux activistes du genre. Pourtant, certains ont beau s’en prendre à Bock-Côté, il est l’intellectuel québécois le plus connu dans le monde à l’heure actuelle.

Nous pourrions aussi parler de tout le ridicule de la tactique d’intimidation des militants wokes. Ceux-ci, comme Léa Clermont-Dion, essaient tout d’abord d’attirer l’attention sur la publication critique d’un conseiller du PQ, Gaspard Skoda, pour ensuite se victimiser, et après faire ce qu’on appelle du « doxxing ». Suite à la publication de madame, des pages de memes anonymes s’en sont prises à monsieur Skoda.

La boucle est bouclée. On fait carrément un effet Streisand avec un commentaire qui aurait pu sombrer dans l’oubli, comme 99.999% des publications sur X. Maintenant, plein de gens qui ne sont pas spécialement sympathiques au wokisme connaissent le podcast de Léa Clermont-Dion. Voulez-vous un chausson avec ça? Cette gauche nouveau genre est tellement aux abois qu’elle creuse sa propre tombe.

Mais attention! C’est de la faute aux conservateurs, aux trolls pro-Poutine, aux antiavortement ou encore à Elon Musk si ça va mal pour eux. Eux n’ont évidemment rien à se reprocher. Il faut les comprendre : le genre est une question capitale dans notre société. Que feraient les hommes qui souffrent en prison en raison de leur genre? Il faut bien les envoyer dans des prisons correspondant à leur « genre ». Non?

À force de penser comme ça, comment des gens peuvent-ils encore se surprendre des résultats catastrophiques d’une certaine gauche? En France par exemple, la France insoumise compte en son sein des criminels condamnés, des partisans de la lutte armée. Et ceux-ci vont même jusqu’à commettre des actes illégaux alors qu’ils sont députés.

Bien sûr, au Québec, nous n’avons pas encore une gauche élue à l’Assemblée nationale qui commet des crimes pendant qu’ils sont députés. C’est déjà ça. Mais pour se victimiser, et blâmer la « droite » pour ses déboires, ils excellent là-dedans. Nous devrions nous méfier des gens incapables d’introspection. Les activistes wokes en font partie. Et s’ils se cassent la gueule pour de bon, tant pis pour eux. Ils ne pourront pas dire qu’ils n’ont pas été avertis.