Un rapport pro-immigration du Washington Post montre que le ministre canadien de l’immigration Marco Mendicino fait pression pour accepter les immigrants des États-Unis qui risquent d’être expulsés.
En dépit d’un déficit de dépenses fédérales stupéfiant de 400 milliards de dollars, d’un taux de chômage élevé et d’une reprise très incertaine, le gouvernement canadien accepte des immigrants des États-Unis qui risquent d’être expulsés vers leur pays d’origine.
Le directeur du Centre d’études sur l’immigration a déclaré que l’acceptation d’immigrants menacés d’expulsion aux États-Unis pourrait créer une incitation naturelle pour ces immigrants à venir au Canada.
« Cela nous permet d’économiser de l’argent car nous n’avons pas à expulser les gens [des États-Unis]. Peut-être que cela incitera ces immigrants illégaux à partir d’eux-mêmes. S’il y a un endroit où ils peuvent aller plutôt que de retourner dans leur pays d’origine, alors un plus grand nombre d’entre eux pourraient effectivement partir ».
L’article du Post mentionne que le ministre de l’immigration du Canada a fait pression pour accueillir ces immigrants au Canada.
« Ce mois-ci, le ministre canadien de l’immigration, Marco Mendicino, a exempté cinq de ces demandeurs d’asile des restrictions frontalières, selon Kate Webster, leur avocate basée à Toronto. Une autre demande est en cours. Cela signifie qu’ils seront autorisés à entrer au Canada, si les États-Unis les libèrent ».
La frontière entre les États-Unis et le Canada a fait l’objet de débats passionnés au Canada, en particulier au Québec, où la plupart des passages frontaliers se font à un rythme soutenu.
« Plus de 58 000 demandeurs d’asile sont entrés au Canada à ces points de passage depuis 2017. Près de 15.000 de leurs demandes ont été acceptées, environ 12.000 ont été rejetées et près de 30.000 sont en attente », peut-on lire dans le rapport.
Selon Breitbart, « les expulsions sont mauvaises pour les affaires, en particulier pour les avocats spécialisés dans l’immigration, c’est pourquoi le gouvernement canadien cède aux pressions des groupes favorables à l’immigration pour éviter que les immigrants clandestins basés aux États-Unis ne soient renvoyés chez eux ».
Le Canada a déjà promis d’accueillir un nombre sans précédent d’immigrants dans le pays, à un moment où l’avenir de la nation est compromis par une dette publique élevée et de faibles perspectives économiques.
Le gouvernement Trudeau a déjà promis de relever les objectifs d’immigration à 1,2 million d’immigrants entre 2021 et 2023, un plan qui n’est soutenu que par 17 % des Canadiens.
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