Malgré la crise sans précédent et le taux de chômage du Québec frôlant 17%, le parti socialiste Québec Solidaire propose d’augmenter les impôts sur les compagnies profitables.
Le porte-parole du parti en matière d’économie et de fiscalité, l’ancien journaliste Vincent Marissal, a mis de l’avant la mesure ce jeudi 14 mai.
Marissal n’ayant qu’un maigre diplôme en communications de l’UQAM, il est évident que ce dernier ne réalise pas l’absurdité de sa mesure proposée.
Alors que les pertes d’emplois s’accumulent, les députés de Québec Solidaire touchent toujours l’entièreté de leur salaire, soit près de 100,000$. Pour un diplômé en communications, ce montant est fort élevé.
La mesure proposée va à l’encontre des fondements de la science économique rudimentaire. En temps de crise, les gouvernements doivent stimuler la dépense et l’investissement pour que les profits des entreprises soient réinvestis dans l’économie.
Une taxe sur les compagnies profitables décourageait les commerces à relancer leurs activités.
Cette absurde taxe retirerait aussi des fonds qui autrement seraient investis dans l’économie pour les faire plutôt passer par la machine gouvernementale, fort possiblement pour payer des salaires de fonctionnaires hautement rémunérés et des programmes sociaux questionnables.
Une fois de plus, les solidaires surprennent par leur ignorance complète des fondements de la réalité économique.
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