Entrevue avec Guy Millière, essayiste français et Senior Fellow au Gatestone Institute, New York.
C’est exactement ce qui se passe. Les fraudes sont massives et sans précédents. Elles sont une violation très grave du processus démocratique. Elles s’inscrivent dans la continuation du coup d’état rampant mené par les démocrates depuis que Trump a été élu le 8 novembre 2016. Un chapitre de mon livre Après trump? décrit les différentes étapes du coup d’état rampant, références et documents à l’appui. Les démocrates préparent les fraudes et le vol de l’élection présidentielle depuis plusieurs mois. L’envoi de plus de 80 millions de bulletins de vote non demandés par des électeurs a été une étape des fraudes, et des gens ont reçu souvent plusieurs bulletins, y compris des bulletins au nom de personnes décédées.
Le ballot harvesting, la récolte de bulletins de vote dans les maisons de retraite ou au domicile de personnes âgées a été une deuxième étape. Le soir de l’élection, quand les démocrates ont vu que Trump allait gagner, ils ont fait arrêter le décompte des voix dans plusieurs États clés démocrates, et quand le décompte a repris, “miraculeusement”, des bulletins égarés amenés en urgence, tous au nom de Biden. Les observateurs republicains sont exclus de la plupart des lieux de comptage. Des plaintes multiples ont été déposées par la campagne de Donald Trump, les plaintes vont suivre leur cours ont été inclues dans le décompte.
Des plaintes ont été déposées et suivront leur cours. Cela se finira sans doute à la Cour Suprême. Ce n’est pas seulement la réélection de Donald Trump qui est en jeu. C’est la démocratie américaine elle-même. Les démocrates se conduisent de manière criminelle. Que les grands médias américains aient déclaré Biden vainqueur et que Joe Biden se soit proclamé Président élu ne change rien à ce que je viens de dire. Ce ne sont pas les médias qui déclarent qui est Président. Les Etats-Unis ont une Constitution et des lois.
Si cela va jusqu’à la Cour Suprême, ce qui est tout a fait possible désormais, la réponse est sans doute : oui. Le rôle de la Cour suprême est de veiller sur le respect de la Constitution et des lois en vigueur. Ce qui implique de refuser et d’écarter les violations de la Constitution et des lois en vigueur. Et là, il y a violation flagrante de la Constitution et des lois en vigueur.
Si les lois sont respectées, au bout du compte, Donald Trump, bien sûr. Si les lois en vigueur aux États-Unis sont toutes violées, ce sera Joe Biden, et cela signifiera que les États-Unis sont un pays où le suffrage universel est remplacé par la fraude. En fin de soirée le 3 novembre, comme je l’ai dit, quand les démocrates se sont aperçus que leurs manoeuvres antécédentes n’avaient pas été suffisantes et que Donald Trump allait l’emporter, ils ont, comme je l’ai dit plus haut, fait arrêter les procédures de décompte dans plusieurs lieux de dépouillement, fait arriver des bulletins supplémentaires frauduleux pour assurer la victoire de Joe Biden, et fait reprendre le décompte, qui, dans ces conditions est devenu favorable à Biden.
La Cour Suprême refusera et écartera les fraudes, qui sont des violations de la Constitution et des lois en vigueur. C’est une honte qu’un grand parti politique dans une démocratie se conduise comme le Parti démocrate américain. Le Parti démocrate américain est devenu au temps de Barack Obama un parti d’extrême gauche qui ne respecte plus ni règles ni principes, et pour lequel la fin justifie les moyens.
Non, je n’ai pas été surpris. Les sondages me paraissaient biaisés depuis des mois et être devenus des instruments politiques destinés à décourager les électeurs de Trump. L’enthousiasme n’a cessé d’être du coté de Trump. Quasiment aucun électeur n’a voté pour Biden. Des électeurs ont voté pour Trump, d’autres ont voté contre Trump. Les incitations à la haine anti-Trump et la désinformation sur Trump, ont mobilisé une fraction des électeurs, mais la haine envers un candidat ne suffit pas pour gagner une élection. Trump n’a cessé d’incarner l’espoir.
Les démocrates n’ont cessé de tenir un discours très sombre. Ce qui m’a surpris est qu’autant d’électeurs en votant contre Trump aient pu voter Joe Biden, un homme sénile et très corrompu, à l’évidence incapable d’assumer la fonction de Président, et dont la place devrait être en prison, et non à la Maison Blanche.Ce qui m’a surpris aussi est l’ampleur de la fraude et son caractère flagrant. Je pense que les démocrates s’attendaient à ce que Donald Trump obtienne moins de voix qu’il en a obtenu, ce qui les a contraint à frauder davantage encore.
Comme je l’ai dit, les médias ne choisissent jamais le vainqueur dans une démocratie digne de ce nom. Il y a une volonté flagrante de la part des démocrates de continuer à violer la Constitution et les lois, d’intimider les juges, de tenter de placer la population devant le fait accompli. Ce n’est pas surprenant, les médias américains, à de rares exceptions près, sont à leur service. La plupart des médias américains ont, en novembre 2016, cessé de se conduire en médias d’information, se sont transformés en organes de propagande du Parti démocrate et se sont placés entièrement au service du coup d’état rampant.
Comme je l’ai dit là encore, Joe Biden ne deviendra Président que si les lois en vigueur aux États-Unis sont toutes violées et si le suffrage universel est remplacé par la fraude. Si la Constitution et les lois sont respectées, il ne sera pas Président. Si la Constitution et le droit sont jetés aux orties, il deviendra le Président le plus illégitime de l’histoire. Si la justice suit sont cours, les fraudes seront condamnées, et Joe Biden ne sera pas Président. Si les fraudes sont condamnées, la Cour Suprême ne pourra que confirmer la victoire de Trump. On saura très vite si la Constitution et les lois en vigueur aux États-Unis sont encore respectées et si le suffrage universel est lui aussi encore respecté aux Etats-Unis. J’ose espérer que ce sera le cas.
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