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Opinion | Terrorisme islamiste : Justin Trudeau fait preuve d’une extrême lâcheté

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Justin Trudeau est le pire premier ministre du Canada. En effet, de toute l’histoire de notre pays, jamais un dirigeant n’aura autant été vecteur de déclin, que ce soit sur le plan national ou international.

Le Canada, fondé tout récemment en cette contrée du Nouveau Monde, semble paradoxalement verser dans une espèce de fatigue politique, sans avenir prometteur ni valeurs existentielles fortes. Pourtant, le pays possède amplement d’étendue, de ressources, de forces vives et de potentiel. Tous les ingrédients requis pour une recette gagnante afin d’aspirer à la grandeur. Or, Justin Trudeau est aux antipodes d’une quelconque forme de grandeur. La petitesse lui va comme un gant. Cette petitesse imprègne la substance de notre patrie.

La petitesse, mais aussi l’infâme lâcheté. Cette semaine, son niveau de lâcheté a probablement atteint des sommets inouïs, dépassant l’entendement. La France est présentement au cœur d’une guerre de civilisation. Cette guerre n’est pas à un stade latent et métaphorique, elle prend des formes de plus en plus concrètes et tragiques. Les dispositifs policiers se renforcent sur le terrain. Le niveau d’alerte est dans le rouge. Le sultan néo-Ottoman, Recep Tayyip Erdogan, chauffe à bloc le monde arabo-musulman afin d’attaquer la France par le djihad. La résolution pacifique semble donc de plus en plus illusoire. La normalité économique cède la place à un repli civilisationnel.

Le Président Donald Trump n’a pas hésité à offrir son support à la France, au prise avec le terrorisme islamiste. Justin Trudeau avait aussi l’occasion de se présenter en tant que défendeur du monde libre, de critiquer de façon absolument ferme et catégorique cette barbarie qui frappe l’Occident. Cette barbarie n’est pas anonyme, elle s’incarne en l’islamisme radical. Au nom d’une idéologie exacerbée, elle cherche à annihiler les libertés fondamentales de notre civilisation. Le djihad n’est pas un acte isolé ; il s’agit d’une tendance doctrinale et impitoyable. Or, Justin Trudeau n’a pas spécifiquement condamné la barbarie islamiste. Au contraire, il a fait preuve d’une ambigüité à glacer le sang. Il a refusé de défendre le principe sacré de la liberté d’expression et de nommer l’ennemi comme il se doit.

Cette posture relève indéniablement de l’infâme. Comment peut-on envisager une telle démarche hésitante en ce contexte? Comment peut-on éviter de nommer l’ennemi qui menace notre civilisation et qui ne désire rien de moins que sa purification? D’innocents citoyens français se font égorger par des fanatiques islamistes, que ce soit parce qu’ils enseignent les valeurs républicaines ou parce qu’ils pratiquent le culte catholique. Ces actes relèvent de l’horreur absolue. Ils sont des relents d’un obscurantisme tout droit sorti du Moyen-âge. Ils s’effectuent à coup de « Allah akbar » et de préceptes coraniques radicalisés. Ils sont absolument incompatibles avec les mœurs de nos sociétés.

Il faut donc se poser cette question, troublante mais nécessaire : pourquoi Justin Trudeau refuse-il de nommer l’ennemi? Pourquoi est-il incapable de défendre le principe de la liberté d’expression? À cet effet, toutes les hypothèses sont plus inquiétantes les unes des autres. Cherche-il à courtiser la communauté arabo-musulmane, quitte à permettre le droit au blasphème et à fermer les yeux sur les dérives intégristes? Rappelons que notre premier ministre préconise désormais la censure et la mise à l’index dans les universités. Ainsi, les sensibilités des « minorités » se transforment en censure, ce qui est en contradiction explicite avec le principe de liberté d’expression. Le multiculturalisme radical de Justin Trudeau est un facteur absolument troublant qui ne présage rien de bon pour l’avenir de notre patrie. Il serait bien de rappeler à Justin Trudeau que nous sommes une civilisation, avec des valeurs et des mœurs, et que la barbarie islamiste est intrinsèquement incompatible avec cette dernière. Le premier ministre du Canada doit veiller à l’intérêt de sa patrie, et non pas se retourner contre elle, faute de bravoure.

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