Face à la pression constante qui pèse sur les Libéraux corrompus de Justin Trudeau, englués dans un scandale politique majeur qui n’est pas à veille de s’éteindre, il devenait nécessaire que de jeter du lest afin de tenter de calmer le jeu et d’amadouer l’opinion publique. Bill Morneau, ministre des finances, s’est ainsi retrouvé dans le rôle de l’agneau sacrifié. Nous savions qu’en coulisse, il lui arrivait de critiquer les mesures économiques délirantes de Justin Trudeau, manifestement excessives et dommageables. Cependant, il va de soi que l’affaire UNIS représente le facteur primaire qui a mené à son sacrifice sur l’autel. L’ombre de la corruption qui plane représente la cause de ce rituel.
Tel un scélérat, Justin Trudeau n’entend pas répondre de ses actes. Tous les moyens sont bons afin de se tirer du scandale avec les mains propres. Notamment, en nominant Chrystia Freeland au poste de ministre des finances, une décision particulièrement questionnable sachant le peu d’expérience qu’elle possède en la matière. Naturellement, les médias gauchistes s’émerveillent de cette fabuleuse nomination, focalisant entièrement sur le fait qu’elle soit une femme, et ce sans questionner moindrement ses compétences. La saine gestion des finances publiques n’est définitivement pas à l’horizon, madame Freeland laissant notamment planer de potentielles hausses d’impôts, serinant béatement des liturgies au nom de la « solidarité ».
Cependant, cette nomination questionnable n’est que la pointe de l’iceberg. Alors même que le scandale UNIS est soumis à de sérieuses enquêtes et vérifications, par le plus pur des hasards, Justin Trudeau prend la décision de proroger le parlement. En conséquence, la lumière ne pourra être faite concernant les manœuvres de corruption, puisque le parlement sera inactif, et ce jusqu’au 23 septembre. Justin Trudeau méprise la démocratie canadienne, il se croit à l’abri de toute reddition de compte, tout en jonglant avec les finances publiques, fruit de labeur du Peuple. Alors que les projecteurs étaient tournés vers lui, cherchant à mettre la lumière sur un grave scandale qui bouleverse le pays, Justin Trudeau a décidé de lâchement couper l’électricité et de demeurer dans l’obscurité, le tout afin de sauver sa pauvre peau de monarque déchu.
Cette vile manœuvre reflète l’instinct du bas personnage. Prêt à tout pour demeurer au pouvoir, il n’hésite pas à court-circuiter la démocratie canadienne afin de conserver le trône. Heureusement, lorsque la joute politique reprendra ses droits, Justin Trudeau devra effectuer un Discours du trône, ce qui le soumettra automatiquement à un vote de confiance. Là est le moment afin de frapper, et il faudra frapper fort. Son plan de relance n’aura aucune importance ; Justin Trudeau doit être renversé, c’est ce qui importe. Il est indigne de la fonction qu’il occupe. Son règne rime avec une dégradation continuelle de notre pays, ce qui va à l’encontre de sa vocation nationale, vouée à la croissance et la puissance. Si Justin Trudeau reste au pouvoir, alors le bateau continuera de sombrer, jusqu’au point de non-retour, ce que personne ne souhaite. Son Discours du trône doit donc rimer avec un refus catégorique, ce qui implique de nouvelles élections fédérales.
Justin Trudeau commet l’affront de sacrifier son ministre des finances, Bill Morneau, et de proroger le parlement jusqu’au 23 septembre, le tout afin de sauver sa propre peau et échapper aux conséquences de ses gestes. La pandémie n’est pas une excuse afin de bafouer les fondements de la démocratie canadienne. Justin Trudeau devra répondre de ses actes, cela est inévitable. Lorsque le parlement reprendra ses droits, alors il est crucial que de lui faire comprendre très clairement qu’il a outrepassé les limites de sa fonction, et qu’il est voué à une chute définitive. À la fois les partis d’oppositions, mais aussi le Peuple canadien, doivent converger et unir leur volonté afin de renverser pour de bon Justin Trudeau. Il en va de l’avenir de notre patrie.
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