La pandémie de covid-19 continue de sévir dans nos sociétés, avec désormais plus de 157000 morts au total. Sur le fond politique, le sentiment de méfiance face au régime chinois ne cesse de prendre de l’ampleur, justifié par une trame narrative qui ne tient tout simplement pas la route. L’opacité du régime empêche d’accéder à la vérité, que ce soit en fonction de l’origine de l’épidémie ou le véritable nombre de morts. Le flou persiste.
Pour Donald Trump, il est logiquement impossible que la Chine n’ait que 0,33 décès sur 100 000 habitants. En comparaison, l’Espagne a plus de 42,81 morts sur 100 000 habitants. Les données officielles du régime chinois ne tiennent tout simplement pas la route, elles sont trompeuses et ne reflètent pas la réalité du terrain. Pourtant, en une telle tragédie humanitaire, quelle est l’intérêt de camoufler la vérité? La question se pose, avec plusieurs interrogations possibles. Le pire est sur la table, sans réponse convenable pour le moment.
Face à cette ambigüité qui persiste, c’est désormais au tour de l’Australie d’emboiter le pas, avec la mise en place d’une enquête indépendante afin de faire la lumière sur l’origine du virus. Elle se penche aussi sur la gestion douteuse de l’Organisation mondiale de la santé, soumise à la volonté de la Chine. De ce fait, l’Australie s’inscrit désormais avec les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, tous sceptiques face à la trame narrative intenable de la Chine et de l’OMS. Sans surprise, le Canada du ô glorieux Justin Trudeau brille par son absence. La marche de l’Histoire échappe à la faiblesse d’esprit de l’homme.
Donald Trump a d’ailleurs durci le ton, en indiquant que la Chine devra subir des représailles si elle est finalement reconnue responsable de la pandémie mondiale. Il n’exclut pas l’hypothèse que le virus se soit échappé du laboratoire de Wuhan, ce dernier étant d’ailleurs curieusement à proximité des marchés humides. Les enquêtes indépendantes devront donc faire la lumière sur tout ce flou quant à la véritable cause de la pandémie ; cependant, le manque de transparence du régime chinois ne joue certainement pas en leur faveur. La lumière devra être révélée, de gré ou de force. En ce contexte, la reddition de compte n’est pas facultative, elle est au contraire impérative et vitale.
Nous savons que la Chine est un régime dictatorial et liberticide, où l’individu est fondamentalement écrasé par l’État et où son droit intrinsèque à la liberté est bafoué. Cependant, l’épidémie n’est plus un enjeu interne au régime chinois, c’est au contraire une crise mondiale, donc externe. En conséquence, la Chine est imputable à l’humanité ; elle doit révéler la vérité, toute la vérité, même le pire, afin que justice se réalise. Si elle n’a rien à se reprocher, grand bien lui fasse, qu’elle nous en fasse part. Si, malgré tout, elle refuse de respecter son devoir de transparence afin de rendre des comptes, alors ultimement, il faudra passer à une étape supérieure afin de parvenir à la vérité. Justice se fera, d’une façon ou de l’autre.
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