Quand on se compare, on se console, dit-on. Dans le cas du Canada, ce dicton est manifestement invalide.
Il suffit de constater le pitoyable appel à la Nation de Justin Trudeau, c’est à dire un ramassis de paroles insignifiantes, d’idées recyclées et d’une tendresse larmoyante et artificielle digne d’un faible homme. Si, au moins, nation il y avait, ce qui n’est absolument pas le cas sous l’égide de Justin Trudeau. Fervent artisan de la fragmentation communautariste, rappelons que notre premier ministre a tout récemment injecté des fonds publics à vocation racialiste, donc basés sur la couleur de la peau. L’unité canadienne est une pure chimère, même en temps de crise.
Au Sud de notre frontière, la dynamique politique est tout autre. Donald Trump, 45e Président des États-Unis, a tout récemment prononcé un discours historique à l’assemblée des Nations unies, le 22 septembre. Loin de courtiser les faveurs des dignitaires mondialiste, il a tout au contraire lancé une multitude de redoutables salves, notamment vers la Chine communiste, carrément accusée du génocide global de la COVID-19.
Il suffisait de constater la réaction en direct du représentant de la Chine, qui avait littéralement de la difficulté à respirer sous son masque, hyper-ventilant face à la gravité de telles accusations. La vive tension entre le régime Chinois et les États-Unis, digne d’une Guerre froide en plein acte, n’est pas à veille de s’évaporer. À ce stade, une éventuelle collision militaire est tout à fait envisageable.
Une telle tension nécessite un support robuste. Il y a belle lurette que Justin Trudeau aurait brisé en deux. Le rôle d’émissaire de la Chine lui convient plutôt, incapable de défendre l’intérêt national du Canada. Après tout, il faut un chef fort et droit afin de défendre les intérêts de son peuple, ce qui n’est pas donné à tous. Donald Trump est un homme qui se bat fondamentalement pour son peuple, le peuple américain.
Milliardaire, il se voue à perpétuer la grandeur et la suprématie des États-Unis d’Amériques, et ce malgré les lourdes tendances de notre époque. La rédemption et le ressentiment, basés sur les péchés qui hanterait l’Amérique, ne sera jamais une option envisageable. Tout au contraire, la prospérité et la fierté de la patrie sont les valeurs cardinales du règne de Trump.
Les chiffres ne mentent pas : avant la crise du coronavirus chinois, l’économie américaine avait atteint des sommets inouïs, du jamais vu dans l’histoire économique des Amériques. Cette dynamique économique a d’ailleurs contribué à l’émancipation des classes populaires et moyennes, y compris les minorités hispaniques et afro-américaines, n’en déplaise aux bienpensants et leurs puériles accusations de racisme.
D’ailleurs, l’économie est présentement en vigoureux redémarrage, parée afin d’atteindre de nouveaux sommets historique. Une économie performante, doublée de substantielles forces policières et militaires afin d’assurer la loi et l’ordre, sont des facteurs significatifs pour protéger les libertés acquises, notamment face à la Chine communiste et le fascisme d’extrême-gauche.
vPourtant, les médias de gauche, omniprésents dans l’espace public québécois, ne font que systématiquement présenter le Président Trump comme une pure pathologie, mentalement dysfonctionnel et coupable de tous les maux de ce bas monde. Dans ce cas, comment peut-il être doublement nominé du Prix nobel de la paix, tout en ayant un bilan absolument exemplaire en terme de guerres? Cette conjoncture illustre la profonde distorsion des médias de masse, ne cessant d’extrapoler des éléments insignifiants et banals du mandat de Donald Trump.
Pourtant, lorsque se dissipe le voile de la propagande médiatique, on constate la présence d’un véritable chef d’État, à la fois protecteur de la grandeur des États-Unis mais aussi de la civilisation occidentale. En cette ère où le mondialisme semblait être la norme indépassable, Donald Trump incarne fermement la résistance patriotique, se vouant corps et âme aux intérêts de sa patrie et de son peuple.
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