Berkshire Hathaway, le fonds d’investissement du légendaire Warren Buffet, faisait partie des financiers du projet GNL- Québec qui aurait attiré un investissement de près de $15 milliards de dollars et aurait permis au Québec de devenir une plaque tournante dans l’exploitation des ressources propres, s’est désisté du projet.
Berkshire Hathaway cite principalement le climat politique au Canada, particulièrement au courant des dernières semaines ou des barrages ont été érigés par quelques manifestants radicaux, allant jusqu’à complètement paralyser le pays.
Devant ces barrages et ces actes illégaux, le gouvernement Trudeau n’a pas agit et a laissé la situation s’empirer. En refusant d’appliquer les lois, le gouvernement fédéral a envoyé un mauvais signal aux investisseurs qui envisageaient le Canada : notre pays est incapable de faire appliquer ses lois.
Un tel climat de tension et d’inactivité est défavorable aux affaires. On apprenait que le Canada avait perdu un autre investissement de plusieurs milliards de dollars dû à l’annulation du projet Teck suite aux blocages, et c’est maintenant au tour de GNL d’être remis en question.
Pour le moment, le projet tient toujours la route, mais il faudra réviser le financement. De plus en plus de projets sont annulés alors que les investisseurs considèrent le Canada comme un pays en voie d’instabilité. Ce climat politique risque de couter cher aux Canadiens.
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