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Un juge fédéral annule le procès sur le changement climatique intenté par des jeunes

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Jeudi, le juge de la Cour fédérale Michael Manson a mis fin à un procès intenté par 15 jeunes militants du climat.

Les plaignants avaient intenté ce procès alors que l’adolescente Greta Thunberg, qui s’intéresse au climat, était en tournée au Canada. Ils affirmaient que le gouvernement fédéral avait violé leurs droits garantis par la Charte en ne faisant pas assez pour lutter contre le changement climatique.

Il s’est avéré que le procès était mort dans l’œuf, car, selon la décision de Manson, les revendications n’ont pas été considérées comme ayant une perspective raisonnable de succès ou une cause d’action.

« La position des plaignants échoue, car certaines questions sont tellement politiques que les tribunaux sont incapables ou inadaptés à les traiter. Il s’agit notamment des questions d’approche de l’ordre public — ou des approches de questions d’intérêt majeur pour la société », a écrit Manson dans sa décision.

« Bien que cela ne signifie pas qu’une politique gouvernementale ou un réseau de programmes gouvernementaux ne peut pas être soumis à un examen en vertu de la Charte, à mon avis, l’approche des demandeurs qui consiste à alléguer un nombre trop important et non quantifiable d’actions et d’inactions de la part des défendeurs ne répond pas à cette exigence minimale et tente effectivement de soumettre une réponse politique globale au changement climatique à un examen en vertu de la Charte ».

La poursuite a été déposée pour la première fois le 25 octobre 2019 par 15 enfants et adolescents.

Au cours du processus de soumission, le gouvernement fédéral a fait valoir qu’en raison du fait que le changement climatique est un problème mondial, le Canada ne peut pas résoudre le problème en agissant seul.

Selon un récent sondage du ministère de la Sécurité publique, les enfants canadiens sont plus nombreux à être terrifiés par l’alarmisme climatique que par la drogue, les gangs ou les armes à feu.

Lorsqu’on leur a demandé d’évaluer la menace que les changements climatiques font peser sur leur sécurité, 57 % des enfants âgés de 16 à 25 ans ont répondu qu’il s’agissait d’une « menace extrêmement grave » pour la sécurité des enfants.

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