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Un sondage dévoile que la moitié des Canadiens pensent que les journalistes induisent le public en erreur

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Un nouveau sondage suggère que la moitié des Canadiens pensent que les médias induisent délibérément le public en erreur pour soutenir leur propre agenda.

L’étude publiée par la société de conseil Edelman révèle que 49% des Canadiens croient que les journalistes « essaient délibérément d’induire les gens en erreur en disant des choses qu’ils savent être fausses ou des exagérations grossières ».

« Aucune source d’information – médias traditionnels (55%), moteurs de recherche (47%), médias appartenant à des tiers (32%) ou médias sociaux (22%) – ne jouit de la confiance des Canadiens, et les trois dernières font l’objet de méfiance. Les quatre sources d’information ont connu une baisse de confiance par rapport à l’année dernière », écrit Edelman.

Au total, 52 % des personnes interrogées pensent également que la plupart des organes d’information sont plus soucieux de promouvoir leur propre idéologie que de dire la vérité.

Récemment, il y a eu plusieurs cas de journalistes qui ont promu leurs propres opinions plutôt que de rapporter des informations factuelles.

Depuis le début de la pandémie de coronavirus, les médias traditionnels ont pris pour cible toute personne s’opposant à des mesures de confinement strictes au cours de l’année écoulée.

Les journalistes canadiens ont également fait des pieds et des mains pour flatter l’administration Biden aux États-Unis.

En janvier, le Conseil canadien des normes de la radiotélévision (CCNR) a jugé qu’une émission de CTV National News avait violé le code de déontologie des radiodiffuseurs canadiens en mentant sur l’ancien président Donald Trump.

Edelman note que les médias, ainsi que le gouvernement et d’autres institutions, ont bénéficié d’une brève période de confiance croissante au début de la pandémie, qui s’est depuis évaporée.

« Au printemps 2020, les entreprises, le gouvernement et les ONG ont tous connu un pic de confiance, les faisant passer dans la catégorie des personnes de confiance parmi la population générale canadienne. Depuis lors, la bulle de confiance a éclaté, toutes les institutions rendant la plupart (sinon la totalité) des gains constatés et retournant dans la zone neutre. »

L’enquête suggère également que les « experts universitaires » et les entreprises ont perdu la confiance du public au cours de l’année écoulée, la crédibilité de la plupart des personnes en position d’autorité n’ayant jamais été aussi faible.

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