Un verdict venant de la plus haute cour de justice du Royaume-Uni est tombé récemment : la définition d’une femme relève de la biologie. Ainsi, le Royaume-Uni devient l’un des premiers pays à officiellement entériner dans sa loi ce qu’est une femme. La question peut sembler triviale : what is a woman? Pourtant, certains se la posent, étant donné le lobbying d’une minorité bruyante.
Aux États-Unis, cette question a fait l’objet d’un documentaire, de mèmes et de nombreux commentaires politiques. Pendant des millénaires, on ne s’est jamais vraiment posé la question : les femmes seules peuvent tomber enceintes et donner la vie. Les hommes et les femmes ne pouvant pas concourir dans les mêmes catégories sportives, on les sépare dans la majorité des disciplines.
Pour des raisons biologiques assez évidentes, il semblerait saugrenu de contraindre une femme à se battre contre un homme à la boxe. Pourtant, suite à des pressions venant de lobbys transgenres, c’est maintenant une chose possible. C’est également possible, selon eux, qu’un « homme trans » puisse donner la vie.
Or, la biologie se fout bien des sentiments tels que le ressenti. Il faut avoir un utérus pour porter un enfant, et seules les femmes peuvent en avoir un. On a beau changer son apparence, on demeurera toujours avec les mêmes chromosomes. Bien sûr, cela ne justifie pas la violence à l’égard des personnes trans ni leur discrimination.
Mais la Cour suprême du Royaume-Uni a rendu un jugement courageux, dans un pays pourtant dominé politiquement par des élites libérales tombant dans la décadence. Il ne faut pas oublier que, pour contrer les attaques aux couteaux, le gouvernement travailliste de Keir Starmer souhaite interdire la vente de sabres japonais.
C’est ce même pays où des gens sont poursuivis en justice pour avoir critiqué les politiques d’immigration sur les réseaux sociaux, pendant que, dans la rue, des prédicateurs islamistes font ouvertement l’apologie du jihad. On se pose la question : se peut-il que la Cour suprême britannique soit plus indépendante que celle du Canada, qui est le bras juridique du Parti libéral?
J.K. Rowling, que l’on accuse depuis des années de transphobie, est l’une des voix les plus critiques de son pays concernant l’avenir des droits des femmes. Celle-ci est préoccupée (et on la comprend) par les vestiaires où des hommes se déclarant femmes peuvent se dévêtir en présence de celles-ci, ou encore par les risques qui pèsent sur les femmes en prison lorsqu’un homme est incarcéré avec elles.
Donc, cette décision est à saluer, et l’on ne peut qu’espérer que le prochain gouvernement canadien reviendra sur les dispositions les plus controversées de ses lois concernant le genre. On souhaite également une politique claire concernant les hommes se déclarant de genre féminin pour être incarcérés dans des prisons pour femmes.
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