MONTRÉAL — Les enseignants du Québec disent qu’ils n’ont pas le temps de surveiller les enfants qui se brossent les dents tous les jours.
Les syndicats d’enseignants disent que leurs membres ont une charge de travail suffisamment élevée et que ce n’est pas le moment de leur confier la responsabilité de s’assurer que la bouche de leurs élèves est propre.
Les syndicats réagissent à un programme qui se déploie lentement dans toute la province, dans lequel les enseignants sont tenus de s’assurer que les élèves se brossent les dents pendant deux minutes chaque jour.
Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement, qui représente 87 000 enseignants, dit que le programme est une bonne idée mais tout à fait irréaliste.
Un autre syndicat, la Fédération autonome de l’enseignement, qui compte plus de 60 000 membres, affirme que les exigences du programme sont complètement déconnectées de la réalité des écoles.
Le programme – pour les garderies et les écoles primaires – a été élaboré par le ministère de la Santé en 2017 mais a été lent à être mis en œuvre en raison de la pandémie de COVID-19.
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