En conférence de presse jeudi, le premier ministre a affirmé qu’il « n’y aura pas de retour à la normale jusqu’à ce qu’on trouve un vaccin, et cela pourrait prendre un an ou un an et demi ».
« On pourrait atteindre le sommet de la courbe à la fin du printemps et la première vague pourrait se terminer pendant l’été », a renchéri le premier ministre canadien.
« C’est notre nouvelle réalité jusqu’à ce qu’on trouve un vaccin. »
Cette affirmation survient après des chiffres choc : au mois de mars, le Canada a perdu plus d’un million d’emplois, et le taux de chômage frôle désormais 8%.
Plusieurs voix s’élèvent déjà, notamment celle de l’ancien Sénateur André Pratte, qui appelle les gouvernements nord-américains à observer la réaction de pays tels que la Suède face à cette crise.
Des modèles de dépistages accrus et ciblés, mêlé à une isolation sélective des individus à risque, pourrait permettre aux pays de limiter les dommages économiques qui pourraient avoir des conséquences à très long terme.
Cette option ne semble pas être envisagée par Ottawa qui préfère la mise en veille quasi-complète du pays, et la mise en place de programmes massifs d’aide financière, le tout mêlé à une prise massive de nouvelle dette publique.
Quelques mois après que Catherine Dorion ait réglé ses comptes contre Gabriel Nadeau-Dubois et les…
Un nouveau pays s'ajoute à la liste de ceux qui déclarent avoir un intérêt pour…
Traduit de l’anglais. Article de Laura He publié le 24 avril 2024 sur le site…
Il est de bon ton de s’attaquer aux propositions parfois hypocrites ou farfelues de Québec…
Traduit de l’anglais. Article de Denise Paglinawan publié le 23 avril 2023 sur le site…
Le « passe Archipel » sera appliqué cette année aux Îles-de-la-Madeleine pour les non-résidents. Une taxe de…