Mois : mars 2020

Le ministre de la sécurité publique Bill Blair demande aux services pénitenciers canadiens et aux comités de libérations conditionnelles de libérer à l’avance des détenus pour éviter la propagation du virus chinois, COVID-19 dans les prisons canadiennes. Le gouvernement fédéral a attendu des mois avant de prendre la moindre mesure pour limiter la propagation du …

Le gouvernement fédéral veut libérer à l’avance des prisonniers en raison du virus chinois COVID-19 Read More »

Dans un exposé chronologique important, David Staples du Edmonton Journal recense les erreurs majeures commises par le gouvernement fédéral de Justin Trudeau dans la crise du virus chinois, communément appelé COVID-19. Fin janvier : les ministres du gouvernement fédéral assurent qu’il n’y a aucun danger pour les canadiens et que tout est sous contrôle. Selon l’Administratrice …

Les erreurs majeures de Trudeau dans la crise du coronavirus de Wuhan Read More »

Depuis cinq ans, Justin Trudeau tente de faire croire que les sénateurs nommés par son gouvernement depuis 2015 sont indépendants de toute influence politique de sa part et celle de son caucus. C’est plutôt un autre exemple de manipulation de la réalité que seul notre premier ministre actuel tente d’imposer à la population.

Cela fait deux semaines que le Québec vit en confinement afin de freiner la progression du COVID-19. Notre métropole est devenue une ville fantôme où tout le monde reste chez soi. On se croirait dans l’univers de Walking Dead avec des villes vides d’êtres humains. Le gouvernement Legault a pris des mesures drastiques afin d’éviter une catastrophe à la sauce italienne. Force est de constater que cela a bien fonctionné. Le nombre de cas atteints de COVID-19 hospitalisés est faible si on le compare avec certains pays d’Europe. Dans cette crise, c’est là qu’on voit de grands leadeurs se démarquer et ce fut le cas avec notre premier ministre. Il faut remercier François Legault pour son travail acharné et nous sommes chanceux de l’avoir.

Vous connaissez le jeu Pandémie ? Jeu de table (board game) populaire chez les joueurs de jeux de société et adeptes de soirée de jeux. Ce jeu de stratégie consiste à jouer en collaboration contre le jeu afin d’endiguer quatre virus menaçants le monde et éviter la propagation en s’attaquant aux virus eux-mêmes. Les habitués vous diront que c’est très difficile de gagner. Présentement, nos gouvernements sont à collaborer afin d’éliminer cette menace à tout prix.

Depuis le début de la crise du coronavirus, nous, les Québécois, avons la chance (oui la chance) d’avoir un premier ministre qui ne compte pas ses heures ni les efforts que cela demande de recevoir et d’assimiler rapidement un flot énorme d’informations, pour nous donner l’heure juste en toute transparence, avec la bonhommie qui le fait apprécier d’une vaste majorité d’entre nous, toutes couleurs politiques confondues.

Dans mon ancienne vie de syndicaliste, j’ai participé à des dizaines de manifestations de toutes sortes. Immanquablement, j’ai scandé le mot « solidarité » à chaque fois, des centaines de fois. Ce mot qui sortait de ma bouche par automatisme est reconnu dans toutes les organisations ouvrières à travers le globe. Je connaissais sa définition certes, mais jamais l’action d’être solidaire ne s’était manifestée comme elle le fait depuis le début de cette crise sanitaire qui ne laisse personne indifférent.

Il y a quelques semaines, nous étions au Mexique pour nos vacances annuelles. Nous attendions le nouveau printemps sous le soleil sans toutefois nous douter de ce que nous réservait l’avenir. Jamais nous n’aurions imaginé un tel scénario dramatique. Le printemps est en effet arrivé, mais les terrasses et les restos sont vides. Le soleil brille dans le ciel, mais peu de gens sont dans les rues pour en profiter.

Le Parti libéral du Québec a suspendu sa course à la chefferie et le Parti québécois l’a reportée aussi. Pourquoi le Parti conservateur du Canada s’obstine-t-il à poursuivre sa course, qui passe inaperçue de toute façon? Pour l’heure, la population du Canada doit composer avec le confinement, la distanciation sociale, l’encadrement des enfants, les fermetures de commerces, les pertes d’emploi et un moral en dents de scie. N’est-ce pas assez? A-t-elle envie, en ce moment, d’écouter des débats sur les oléoducs? A-t-elle la tête à entendre des gens s’obstiner sur le programme de l’un ou de l’autre? Je ne crois pas.

Depuis le début de la pandémie, le premier ministre François Legault et le directeur de la santé publique du Québec Horacio Aruda ont clairement dit que les personnes âgées de 70 ans et plus étaient les plus à risque face à cette nouvelle maladie. C’est pour cette raison que le gouvernement a demandé à ces personnes de rester chez eux afin de ne pas contracter le virus et le propager aux autres.