Jour : 8 mai 2020

Lorsque survient la grande messe des élections fédérales, il est un rituel typique pour le souverainiste qui consiste à voter automatiquement et inconditionnellement pour le Bloc Québécois. En effet, en fonction de la logique souverainiste, un vote pour le Bloc équivaut à renforcer les forces vives de la patrie, tandis que les autres partis politiques …

Le Bloc Québécois, l’idiot utile d’Ottawa Read More »

Depuis le début de la pandémie, Justin Trudeau dépense notre argent et il ne semble pas y avoir de limites. Je crois que certaines d’entre elles sont justifiées comme l’allocation de 2000 $ par mois aux Canadiens qui ont perdu leurs emplois. Cependant, il y a des limites non ? Ce premier ministre dépense comme si l’argent poussait dans les arbres.

Règle générale, une crise comporte quatre phases. La première, la phase héroïque, où les leaders prennent en charge la situation avec courage et bienveillance. On se retrousse les manches, on attaque bravement le problème pour y remédier. Ensuite, vient la phase de la lune de miel. C’est là que l’on voit l’efficacité de ses mesures. Les choses bougent, on a confiance et tout le monde coopère. Or, vient un temps où la patience de tout un chacun est mise à rude épreuve, la lune de miel est terminée, et c’est la désillusion. C’est la troisième phase. Les plaintes affluent, et les critiques des partis de l’opposition se font entendre. Ceux-ci ont un choix à faire, répliquer pour construire et aider, ou contester en opportunistes. Enfin, la quatrième phase, c’est la reconstruction.

D’entrée de jeu je le dis ; Marguerite Blais, tout comme le gouvernement de François Legault, a une part de responsabilité politique pour la situation que vivent les CHSLD. C’est la CAQ qui gouverne depuis près de deux ans. Ça ne nous permet pas pour autant d’ignorer la lourde responsabilité des gouvernements libéraux précédents, même si ce n’est pas non plus une excuse pour ne pas agir.

Lire en confinement ? C’est impossible. Je vous le dis ! Qu’on le veuille ou non, notre vie professionnelle est en veilleuse. Oui, je lis « professionnellement ». En effet, je suis chroniqueur littéraire. Or, avec cette pandémie qui nous surveille et nous somme de demeurer à la maison, ce que je fais avec grande obéissance, cette joie de …

Une chronique littéraire comme une autre pendant le confinent Read More »