Il y a quelques jours, Richard Martineau de Québecor a sonné l’alarme par rapport à un certain Assim Al-Hakeem, qui viendrait faire un tour au Canada.
Son niveau d’islamisme semble dépasser ce qui est permissible par la classe politico-médiatique. Ses propos sur le 11 septembre, les juifs, les homosexuels, sont tous du calibre d’un homme de sa réputation. Je ne vais pas perdre mon temps à déconstruire ou débattre son idéologie. L’Islamisme n’a tout simplement pas sa place au Canada, c’est une évidence.
Heureusement, son événement, au moins celui à Montréal, fut annulé. Je suis content qu’il y ait eu une opposition assez forte à sa venue pour causer l’annulation de son événement. Cela dit, je ne pense pas que l’on touche le fond du problème.
Être un islamiste ne l’empêche pas de répondre aux lois du marché. S’il fait un tour au Canada, c’est parce qu’il juge pertinent de venir parler ; il juge que dans chaque ville qu’il visitera, il y aura assez de gens qui viendront le voir pour que ça en vaille la peine. Il y aura assez de demande pour son offre.
Ce n’est pas vraiment le genre d’individu qu’on va voir par accident. Si on assiste à son évènement, on doit être au minimum un peu d’accord avec sa vision salafiste des choses. On peut donc conclure qu’il y a assez d’individus adhérant au salafisme dans plusieurs villes canadiennes pour faire une petite conférence.
Un, c’est déjà un de trop. Assez pour remplir une petite audience, ça commence à devenir un vrai problème. Et ce chiffre ne va qu’augmenter avec nos politiques d’immigrations irresponsables qui nous ont mis dans cette situation. À un moment donné, il faut dire les choses: certaines cultures ne sont simplement pas compatibles à la nôtre, et ces gens n’ont tout simplement pas leur place dans notre pays.
Plutôt que de célébrer une victoire vide parce que sa conférence a été annulée, utilisons cet incident comme “wake up call”. Il y a des islamistes organisés dans plusieurs grosses villes du Canada, et ce n’a pas lieu d’être. Ces gens n’ont pas leur place parmi nous.