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Certains immigrants illégaux ont reçu jusqu’à 224$ par jour pour couvrir les frais de nourriture et d’hébergement

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Traduit de l’anglais. Article de Tristin Hopper publié le 13 mai 2024 sur le site du National Post.

Alors que le nombre de demandeurs d’asile au Canada atteint de nouveaux sommets, une députée conservatrice a révélé qu’Ottawa consacre environ 224 dollars par jour pour nourrir et loger certains étrangers qui demandent l’asile après être entrés illégalement dans le pays.

La semaine dernière, la députée conservatrice Lianne Rood a téléchargé sur les médias sociaux des documents montrant la réponse du gouvernement à sa question sur les « biens et services » fournis aux étrangers qui ont demandé l’asile au Canada, mais dont la demande n’a pas encore été examinée par les services d’immigration.

Le coût moyen de l’hébergement est de « 140 dollars par nuit et par chambre » et le coût moyen des repas est de « 84 dollars par jour et par demandeur », soit un total de 224 dollars par demandeur et par jour.

Et le coût journalier peut être encore plus élevé si l’on tient compte des autres « articles essentiels » fournis gratuitement aux demandeurs, y compris « les articles de toilette, les médicaments, les couches ».

« Les demandeurs d’asile dans les hôtels gérés par IRCC, quelle que soit la manière dont ils sont entrés au Canada, sont logés et nourris une fois qu’ils sont relogés », peut-on lire dans la réponse officielle à M. Rood, signée par Paul Chiang, secrétaire parlementaire du ministre de la Diversité et de l’Inclusion.

« Le gouvernement néo-démocrate-libéral accorde dix fois plus d’avantages aux frontaliers illégaux qu’il n’en accorde aux personnes âgées canadiennes ! DISGRACIEUX », a écrit M. Rood dans une légende accompagnant un message publié le 7 mai sur X, dans lequel il téléchargeait le document.

Selon les chiffres les plus récents de l’IRCC, 156 032 demandes d’asile sont en cours d’examen par l’agence, mais tous les demandeurs d’asile ne se trouvent pas au Canada et ne vivent pas dans un hôtel de l’IRCC.

De nombreux demandeurs d’asile ayant submergé les abris municipaux, le gouvernement Trudeau a récemment lancé le Programme d’aide au logement provisoire afin de « fournir un hébergement temporaire limité aux demandeurs d’asile qui, autrement, n’auraient pas d’endroit où s’abriter ».

En novembre, le programme gérait 3 800 chambres à travers le Canada, hébergeant environ 7 000 demandeurs d’asile pour un coût annuel total de 557 millions de dollars.

[…]

Pendant six ans, ce lieu rural du Québec a été le point de passage de plus de 100 000 frontaliers illégaux. Du côté sud, des compagnies de bus américaines offraient des services spécialisés aux étrangers cherchant à entrer au Canada et à demander l’asile. Du côté nord, la GRC a dépensé des millions pour ériger des structures semi-permanentes afin de traiter l’afflux.

Bien que le Canada aurait pu fermer unilatéralement le passage de Roxham Road à tout moment (comme il l’a fait pendant plusieurs mois lors de la pandémie de COVID-19), le gouvernement Trudeau a attendu que les États-Unis approuvent une modification mineure de l’accord sur les tiers pays sûrs pour commencer à refouler les frontaliers en situation irrégulière.

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale

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