Les amendements proposés par le Sénat pour exclure le contenu des usagers de cette loi ont été rejetés en bloc par les libéraux. Ce qui veut dire qu’en théorie, ce que vous publiez sur le web sera désormais soumis aux normes du CRTC, et l’organisme de régulation pourra s’ingérer dans les algorithmes des plateformes pour promouvoir ou censurer certains types de contenus.
Les médias sociaux ont cependant juré n’avoir aucune intention de s’y soumettre, même si cela signifie de bloquer le contenu journalistique pour le public canadien.
Le chef conservateur Pierre Poilievre, pour sa part, a juré qu’il abolirait cette loi s’il était élu à la prochaine élection.