Témoignant devant les députés ce matin, Pascale Fournier a souligné n’être entrée en fonction qu’en 2018, deux ans après le fameux « don chinois » et n’avoir été mise au courant de celui-ci que cette année avec l’article choc du Globe and Mail.
Suite à cela, sa volonté d’enquêter et sa découverte de correspondances troublantes entre la fondation et une organisation liée au régime communiste chinois aurait causé tant de tensions internes qu’elle aurait été contrainte de démissionner en même temps qu’une grosse partie du C.A. le 10 avril dernier.