Dans un article douteux sur le coronavirus de Wuhan, un média québécois de masse qualifie le nouveau virus comme désormais « virus américain ».
Pourtant, on apprenait hier par l’entremise des services secrets américains que la Chine aurait menti sur le nombre de ses cas du virus, et des décès engendrés.
Selon plusieurs intervenants, le nombre de décès pourrait se compter par millions, plutôt que la figure officielle du gouvernement communiste chinois de quelques 3,000 morts.
Le gouvernement chinois aurait d’ailleurs tenu sous silence des sources l’ayant prévenu de l’émergence du virus de Wuhan bien avant que le monde soit mis au courant en décembre.
Le silence imposé par le gouvernement communiste et leur répression des lanceurs d’alertes aurait d’ailleurs largement empiré la propagation du virus. Alors que le parti communiste chinois était au courant de l’épidémie de Wuhan, ces derniers ont laissé près de 5 millions d’habitants de la région de Wuhan quitter pour d’autres régions et pays, répandant potentiellement le dangereux virus aux quatre coins de la planète.
Malgré tout, les médias québécois évitent pour la plupart de rendre à la Chine sa part de blâme, et profitent plutôt de l’occasion pour attaquer la présidence de Donald Trump, alors que ce dernier a fermé la frontière à la Chine pour éviter la propagation du virus plus d’un mois avant que le Canada l’imite.
En détournant la réalité et en prétendant que le virus ne provient pas de la Chine, et que c’est n’est pas de la faute au gouvernement communiste chinois si la pandémie a pris une telle ampleur, les médias québécois de masse se font complaisants envers un gouvernement manipulateur qui a mis en danger la santé publique mondiale et l’économie globale.
