La défense de la justice sociale continue à se déchaîner dans les ligues sportives professionnelles qui sont devenues plus « woke » que jamais !
La NBA, la MLB et la LNH organisant toutes des matchs télévisés simultanément, c’est le moment idéal pour être un fan de sport — à moins que vous ne préfériez que vos équipes sportives jouent faire du signalement de vertu contant et promouvoir la défense de la justice sociale et le « wokeness ».
Si l’on se base sur les taux d’audience, qui ont connu des baisses assez spectaculaires en particulier en NBA, il est clair que la plupart des gens préfèreraient que les athlètes professionnels se concentrent sur leur sport, plutôt que sur la promotion d’idées politiques de gauche radicale.
Quelqu’un devrait dire cela aux joueurs de la NBA, y compris les Raptors de Toronto et leurs adversaires comme les Lakers de Los Angeles, qui ont choisi de s’agenouiller en signe de protestation pendant « O Canada » — imitant la tendance lancée par Colin Kaepernick (maintenant ancien joueur de la NFL), qui a commencé à s’agenouiller de façon controversée pendant l’hymne américain en soutien à « Black Lives Matter ».
Que vous pensiez que s’agenouiller pendant notre hymne national est une forme de protestation légitime ou simplement une insulte à nos vétérans, il est très ironique de voir des athlètes américains s’agenouiller pendant l’hymne canadien comme s’ils étaient en mesure de juger. Après tout, le Canada a une longue histoire de lutte contre le racisme anti-noir et d’aide aux Noirs américains fuyant l’esclavage.
C’est encore plus ironique quand on sait que ce sont aussi les mêmes acteurs qui ignorent l’esclavage et le génocide organisé qui se produisent en Chine.
Quelqu’un devrait dire aux dirigeants et aux joueurs de la LNH qu’il n’y a rien de mal à soutenir les policiers. Un rapport récent a révélé que les Bruins de Boston ont procédé à un Photoshop du logo du département de police de Boston sur le maillot du joueur Charlie Coyle avant de le publier sur les médias sociaux pour éviter les « critiques injustes ».
Il ne devrait y avoir aucune honte à soutenir les policiers, et ce ne devrait pas être une tâche des équipes sportives de cacher le soutien d’un joueur à un moment où des slogans radicaux comme « defund the police » sont en vogue.
En fait, un récent sondage montre que 81 % des Noirs aux États-Unis souhaitent que le financement de la police soit maintenu ou augmenté — et non pas diminué.
Cependant, ce n’est pas tous les athlètes qui embarquent dans le battage médiatique qui consiste à sauter sur les causes de justice sociale.
Prenons le cas de Sam Coonrood, qui a refusé de se joindre à ses coéquipiers pour le mouvement Black Lives Matter. Il a déclaré que non seulement sa foi l’obligeait à s’agenouiller devant tout autre chose que Dieu, mais qu’il n’était pas d’accord avec certaines parties du mouvement Black Lives Matter.
« Je suis chrétien, comme je l’ai dit, et je ne peux pas me rallier à certaines choses que j’ai lues sur Black Lives Matter. Ils penchent vers le marxisme et ont dit des choses négatives sur la famille traditionnelle », a déclaré Coonrood dans une interview à NBC.
De même, Jonathan Isaac, joueur noir de la NBA, est devenu le seul joueur d’Orlando Magic à ne pas porter de t-shirt « Black Lives Matter » et à s’agenouiller pendant l’hymne national américain. Isaac a déclaré que le fait de porter un t-shirt « Black Lives Matter » ne va pas de pair avec le fait de soutenir la vie des Noirs, et il a plutôt cité son engagement envers ses valeurs religieuses.
Le sénateur Kelly Loeffler (R-Georgia), copropriétaire du Atlanta Dream de la WNBA, n’a pas non plus mâché ses mots lorsqu’elle a doublé sa position contre le mouvement Black Lives Matter — suggérant qu’il tente de « détruire » l’Amérique. Loeffler les a spécifiquement qualifiés d’antisémites, et s’est fermement opposée à leurs racines marxistes et à leur opposition à la famille traditionnelle.
Il sera intéressant de voir dans quelle direction ces ligues vont évoluer, notamment si elles continuent à soutenir la justice sociale, ou si elles se concentrent sur ce qu’elles font le mieux : leur sport.