En temps de crise et de perte de revenu importante pour un nombre important de Canadiens et Québécois, le gouvernement de Trudeau à annoncé qu’il étalerait $3 millions de fonds publics pour une campagne de propagande contre « l’infodémie ».
Les fonds serviraient supposément à contrer l’information trompeuse sur le coronavirus de Wuhan de même que « le racisme et la stigmatisation qui en découlent ».
« Dans l’état actuel des choses, la discrimination et le climat de haine et de peur qui règnent en cette période d’incertitude suscitent des préoccupations bien réelles », a déclaré de ministre du Patrimoine et ancien militant radical de Greenpeace.
Sans surprise, les journalistes québécois recevront près d’un demi-million en fonds public (330,164$). Ces journalistes sont aussi ceux qui hésitent à critiquer la Chine et son gouvernement communiste pour avoir menti quant à l’épidémie qui aurait émergée dès novembre 2019, supprimant au passage des scientifiques ayant tenté de sonner l’alarme.
En somme, le gouvernement fédéral veut s’assurer que des appellations du type « virus chinois » soient évitées, pompant sans hésitation $3 millions de la poche des contribuables. Les médias québécois pourront ainsi qualifier le Président américain de « xénophobe » car il utilise lui-même cette appellation.
Ce n’est pas un nouveau processus que celui de nommer un virus par son lieu d’émergence. Pensons notamment à l’Ébola (de la rivière Ébola) ou le MERS (symptôme respiratoire du Moyen-Orient), et bien plus.
Cependant, toute dénonciation du charactère corrompu et fondamentalement dangereux du gouvernement chinois sera évitée par le gouvernement de Justin Trudeau, et de facto par les journalistes qui seront récompensés généreusement.
