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Ingérence étrangère : Justin Trudeau a beau pointer du doigt les conservateurs, nous savons qui est réellement compromis

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Justin Trudeau, qui a témoigné devant la Commission Hogue sur l’ingérence étrangère, a affirmé avoir les noms de députés conservateurs ayant contribué à l’ingérence ou à risque d’y participer. Pourtant, nous savons très bien que ce sont les libéraux de Justin Trudeau qui sont impliqués dans la plupart des actes illégaux. Le premier ministre n’a jamais voulu donner la liste des noms des personnes impliquées. Portrait de l’hôpital qui se moque de la charité.

Le premier ministre ne sait plus quoi faire. Il est à ce point impopulaire que des gens de son propre parti demandent sa démission. Certains ont même commencé à sortir publiquement contre Justin Trudeau. Pourtant, ce n’est pas ces désagréments qui vont arrêter Trudeau dans sa lutte pour transformer durablement le Canada en un État postnational.

Trudeau s’accroche au pouvoir, car selon lui, les droits des minorités seraient en danger sous un gouvernement conservateur. Pourtant, personne au Parti conservateur n’a remis en question l’avortement ni les droits des minorités sexuelles. Peut-être Poilievre s’est opposé aux bloqueurs de puberté pour les moins de 16 ans, mais cela n’est qu’une question de bon sens.

Toujours en est-il que Trudeau pointe cette fois-ci du doigt les conservateurs quant à leur possible implication l’ingérence étrangère. Bien sûr, tous les partis sont à risque d’être influencés par des acteurs étrangers, malgré eux parfois, mais ce que nous savons des conservateurs, c’est qu’ils sont la bête noire du Parti communiste chinois.

Le Parti communiste a tout fait pour faire élire des députés libéraux au lieu des conservateurs. Pourquoi? Parce que depuis des années, les conservateurs s’opposent frontalement aux visées du Parti communiste chinois en sol canadien. Ils sont bien plus critiques que les libéraux peuvent l’être quand il est question de la politique à avoir à l’égard de la Chine.

Trudeau, on le sait, même avant qu’il ne soit premier ministre, avait des liens particuliers avec la Chine. Son père, Pierre Elliott, était un habitué de la Chine, qu’il a visité à de nombreuses reprises. Le frère de Justin, Alexandre « Sasha » Trudeau, a écrit un livre où il fait l’apologie du régime chinois. Quant à Justin Trudeau, il a déjà affirmé admirer le régime dictatorial chinois qui peut faire des gestes rapidement, car il n’a pas besoin de l’approbation populaire.

Trudeau lui-même a mangé avec des représentants du Parti communiste chinois au Canada. Les preuves ne manquent pas. Certains députés de la région de Toronto et de Vancouver ont été élus grâce à l’aide des consulats chinois locaux. Ceux-ci ont appelé par le biais de la messagerie Wechat (sorte de WhatsApp chinois) à militer pour Justin Trudeau ou à devenir membre de son parti.

Au Canada, lorsque nous parlons d’ingérence étrangère, celle-ci est essentiellement d’origine chinoise. Historiquement, les Russes n’ont jamais été très présents sur le terrain, hier comme aujourd’hui. Donc, nous verrions mal en quoi les conservateurs peuvent contribuer à l’ingérence en sol canadien. Justin Trudeau essaie tout simplement de sauver sa peau et de trouver des coupables. Tout le monde, sauf lui. Voilà, la vérité.

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