Un nouvel attentat terroriste à Nice dans ce qui semble être une série de violents attentats islamistes contre des institutions françaises vieilles de plusieurs siècles : tout d’abord, un enseignant a été décapité pour avoir montré un dessin de Mahomet. Aujourd’hui, un sacristain de l’église et deux pratiquants ont été sauvagement tués.
L’attentat a eu lieu dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption à Nice, selon le Monde.
La première victime était une femme âgée qui a été retrouvée la gorge tranchée et la tête « presque décapitée » selon le journal français Le Figaro.
Le terroriste a ensuite poignardé le sacristain, l’homme chargé d’officialiser la cérémonie religieuse catholique.
Une autre femme a été gravement blessée et a réussi à quitter l’église et à se cacher dans un café voisin. Elle est morte peu après de ses blessures.
Le suspect a crié « Allahu Akbar » en quittant l’église. Il a été abattu par la police et transporté dans un hôpital voisin.
Quelques heures après l’attentat de Nice, un autre individu armé a été arrêté dans le centre ville de Lyon. L’homme originaire d’Afghanistan était vêtu d’une djellaba et était connu de la police.
Selon l’Agence France Presse, l’homme tenait le couteau à une distance de 30 cm de quelqu’un et semblait être prêt à attaquer.
Le président français Emmanuel Macron a déclaré peu après l’attaque terroriste « La France est attaquée ».
Le 16 octobre, un professeur de français a été décapité par un terroriste islamiste pour avoir montré un dessin du prophète Mahomet lors d’un débat sur la liberté d’expression.
Depuis l’attentat, les forces anti-terroristes sévissent contre les membres radicalisés de la communauté islamiste française.
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