Mark Carney, qui demeure favori dans les sondages malgré une campagne électorale catastrophique poussée par la peur, a affirmé qu’il maintiendrait les niveaux d’immigration actuels, et qu’il vise même à les augmenter dans le futur. Or, en lisant de nombreux témoignages sur les réseaux sociaux, on se demande si cela est une bonne chose. La lutte contre l’insécurité fait-elle partie du programme des libéraux ? On dirait que non.
Sur Reddit ou Facebook, les témoignages de femmes se multiplient concernant du harcèlement de rue. Nous croyions le phénomène limité à la France, où les femmes sont effectivement victimes de sollicitations non désirées, à tel point qu’on y a même développé des applications pour signaler les secteurs à risque. Au lieu d’appliquer la loi contre les harceleurs, on préfère blâmer les victimes.
Ça ne vous rappelle pas quelque chose ? Les féministes du dimanche affirment depuis toujours qu’il ne faut pas blâmer la victime. Or, il y a comme un bogue lorsque les harceleurs sont issus de certaines communautés. Ici, c’est la même chose. Certains utilisateurs de Facebook vont jusqu’à traiter les victimes de racistes, ou affirment qu’elles devraient quitter Montréal si elles n’aiment pas la diversité.
Dans ce contexte, comment faire confiance à Mark Carney pour assurer la sécurité des femmes ? Il n’a rien de prévu non plus pour punir le crime. Le Canada sous Justin Trudeau est devenu une passoire pour les groupes criminalisés venus d’Amérique latine, en plus d’imposer désormais des peines plus clémentes à des criminels condamnés, sous prétexte qu’ils sont noirs ou autochtones.
Le Parti libéral permet ainsi aux réseaux criminels de prospérer. Il n’est pas question ici de réclamer un État policier, mais simplement que le gouvernement fasse preuve d’un peu de bon sens. Les femmes seraient reconnaissantes si elles pouvaient se promener sans être inquiétées dans certains quartiers de Montréal, Sherbrooke ou Québec.
Mais bon, il semblerait que la sécurité et le bien-être de la population, particulièrement des femmes, ne soient pas une priorité pour les libéraux, qui n’ont pour seul objectif que de satisfaire les demandes du Conseil du patronat pour toujours plus de travailleurs à bas coût. Même si cela doit se faire au prix de notre capacité d’accueil, du logement ou des écoles. Ou bien en permettant à certaines pommes pourries de s’infiltrer parmi les nouveaux arrivants qui n’ont rien demandé.