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Le meurtrier condamné Mohamad Al Ballouz est détenu dans une prison pour hommes

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Le bon sens commence-t-il à l’emporter sur le délire absolu du procès de Mohamad Al Ballouz ? Cet homme, qui se considérait comme étant une « femme », est présentement détenu dans une prison correspondant réellement à son sexe biologique. Faut-il crier victoire ? Et qu’est-ce que certains médias, par leur traitement de l’affaire, disent de notre société actuelle ?

Accusé d’avoir poignardé sa femme Synthia Bussières et d’avoir étouffé avec un oreiller leurs deux garçons, Zack et Eliam, Mohamad Al Ballouz s’est mis à s’identifier comme une « femme » lors d’un procès surréaliste qui passera à l’histoire. Désormais connu sous le nom de « Levana » Al Ballouz, il a multiplié les provocations lors de son procès.

Il a entre autres mis le blâme de la mort de ses fils sur sa femme Synthia Bussières, en disant être la mère des deux garçons. Cela ne s’invente pas. Mais puisque nous vivons dans un système où les criminels peuvent exiger du gouvernement qu’il respecte leur « identité de genre », c’est ainsi que nous nous retrouvons dans des situations comme celle-ci.

En effet, la loi C-16, adoptée en 2017, interdit désormais la discrimination selon l’identité de genre. Cette discrimination peut être très large, puisqu’elle inclut les prisons. Les prisonniers ont donc le droit de demander d’être envoyés dans une prison correspondant à leur « identité », même s’il n’y a ni opération ni hormonothérapie. Une simple déclaration suffit.

Toujours est-il que Mohamad Al Ballouz est présentement dans une prison pour hommes. On peut être tenté de crier victoire. Mais il faut quand même être prudent : il est en évaluation par les services de la prison, pour mesurer le niveau de sécurité dans lequel il sera détenu au minimum pour les 25 prochaines années. Mesures de sécurité à la fois pour la société, les autres détenus, et les agents correctionnels. Rien ne garantit pour le moment qu’il soit détenu pour toujours dans une prison pour hommes.

Ce qui demeure troublant dans cette affaire, c’est l’insistance de médias tels que La Presse et Radio-Canada, qui tentent de nous présenter Al Ballouz comme une « femme », ou encore la « meurtrière ». Bien sûr, les pronoms féminins sont utilisés dans ces articles. Pourtant, pour Pierre Poilievre, de même que pour la vaste majorité des gens du quotidien, cela ne fait aucun sens.

D’ailleurs, Benoît Dutrizac a soulevé ce point choquant de l’affaire et de son traitement médiatique, dans son émission du matin du 8 janvier 2024. Espérons tout simplement que Mohamad Al Ballouz ne puisse plus faire de mal à qui que ce soit. Et qu’il passe le reste de sa vie dans une prison qui corresponde vraiment à son sexe biologique, c’est-à-dire pour les hommes !

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