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Le procès rocambolesque pour un triple meurtre à Brossard aura montré tout le ridicule du wokisme

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Un homme accusé d’un triple meurtre, celui de sa femme et ses deux enfants, aura réussi à démontrer tout le ridicule du wokisme qui hante nos institutions. Mohamad Al Ballouz, qui a décidé de devenir une « femme » durant son procès, aura fait de son procès le pire cirque que l’on pouvait imaginer. Si cela n’avait pas été de la fermeté du juge, nous aurions été face au pire procès de l’histoire canadienne.

Le système judiciaire canadien n’est pas spécialement réputé pour sa fermeté ni son efficacité. Cependant, lorsqu’il est question du meurtre de femmes et d’enfants, l’opinion publique souhaite (à juste titre) que justice soit fermement rendue. Nous nous souvenons de Guy Turcotte, qui après avoir été considéré comme « non criminellement responsable », aura provoqué une telle colère de la population qu’un autre procès eut lieu. Où il sera condamné.

Cette fois-ci, l’histoire qui nous intéresse, c’est celle d’un certain Mohamad Al Ballouz, qui a tué dans son condo de Brossard sa femme, Synthia Bussières, et leurs deux enfants, Zac et Eliam, âgés de 2 et 5 ans. Jusque-là, ce procès aurait été un sordide fait divers comme il s’en produit malheureusement trop au Québec. Mais cela s’est vite emballé pour devenir un procès particulièrement bizarre et dérangeant.

Al Ballouz, qui pendant son procès fit une « transition » pour devenir une « femme », s’est défendu lui-même, sans la présence d’un avocat. Il affirme que c’est la mère qui a tué les deux enfants. Il a souhaité faire comparaître 27 « témoins », soit des proches des victimes, telles que la mère et la meilleure amie de Synthia Bussières.

Heureusement, le juge a refusé la plupart des demandes de l’accusé. Al Ballouz, qui assista à son procès avec une perruque, en estimant au contraire être une « mère éplorée ». Or, celui-ci est accusé du meurtre de sa femme, qui était bel et bien la mère des enfants assassinés. Il y a de ces absurdités dans la vie qui choquent, malgré que l’on pense avoir tout vu avec le wokisme qui a envahi toutes nos institutions.

Ce « ressenti », s’il est réel (ce que l’on est en droit de douter), c’est l’hôpital qui se moque de la charité. Au Canada, il n’est pas nécessaire depuis quelques années déjà d’avoir fait une transition pour être considéré légalement comme une « femme ». Une simple déclaration suffit. Donc, ce que monsieur Al Ballouz a fait, c’est véritablement de détruire la crédibilité de l’idéologie de genre, si celle-ci existe.

Les absurdités auxquelles nous assistons au nom de l’idéologie de genre sont tel que l’on aurait pu faire des films avec ces histoires désormais « banales ». Il y a à peine 20 ans, certaines comédies américaines parodiaient les hommes qui se déguisent en femmes. Force d’avouer qu’aujourd’hui, la réalité a dépassé la fiction. Et celle-ci est particulièrement sordide.

Le wokisme a fini par se mordre la queue, en permettant à n’importe qui, selon le « ressenti », de se déclarer comme une « femme ». Est-ce que l’on verra à l’avenir d’autres faits divers aussi absurdes? C’est possible, car c’est profitable à ceux qui savent exploiter les failles du système. Failles qui ne font se creuser. De nos jours, être pour le bon sens, c’est devenu réactionnaire.

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