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Le Québec doit cesser d’importer son gaz naturel et doit s’enrichir en exploitant ses réserves

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La capacité de production d’électricité au Québec est limité, et à mesure que s’entreprend l’électrification des transports, la province devrait activement être à la recherche de nouvelles sources d’énergie propres et peu coûteuses. 

Le Québec a importé pour $13.8 milliards de gaz naturel  au Québec. Pourtant, la province est riche en réserve et possède un gaz naturel extrêmement pur. 

L’exploitation du gaz naturel se fait aujourd’hui de façon extrêmement sécuritaire pour l’environnement. Selon plusieurs, le gaz naturel est l’énergie du future dû à son faible coût monétaire et environnemental.

Comme le pointe une nouvelle étude de l’institut économique de Montréal: « Réduire les émissions de CO2 et de méthane au Québec en refusant de produire du gaz naturel localement, tout en consommant par ailleurs du gaz naturel produit à l’étranger – et qui produit encore plus d’émissions nocives –, n’améliore en rien le bilan mondial. »

« Les réserves québécoises récupérables de gaz naturel, concentrées dans la partie sud de la vallée du Saint-Laurent, sont estimées à environ 250 à 1150 milliards m3. Au rythme actuel de consommation, le Québec disposerait de réserves suffisantes pour un minimum de 40 ans.

Étant donné le réseau de gazoducs déjà présent dans le sud du Québec, exploiter les réserves de gaz naturel que contient le sol québécois n’exigerait la construction que d’un nombre limité de nouveaux gazoducs.

Cependant, depuis le début de la dernière décennie, l’exploration de gisements potentiels de gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent a fait l’objet d’une série de moratoires et d’interdictions. »

L’étude conclut : « Les avantages liés à l’exploitation du gaz naturel québécois sont fortement mis en relief par la crise économique presque sans précédent à laquelle le monde entier fait face. En plus de créer des emplois de grande qualité dans une période où ceux-ci se raréfient, l’émergence d’une industrie gazière au Québec accroîtrait son indépendance énergétique et le placerait dans une meilleure position pour affronter des crises futures, si celles-devaient perturber les chaînes d’approvisionnement habituelles. »

Pour lire l’étude et en apprendre davantage :

L’énergie au Québec – Quel rôle pour le gaz naturel dans un contexte d’électrification?

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