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Le taux de fécondité des canadiens atteint son niveau le plus bas : Statistique Canada

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Le taux de fertilité du Canada a atteint un niveau historiquement bas, selon les données de Statistique Canada.

Un rapport publié mardi révèle que le taux de fécondité du Canada a baissé à 1,47 naissance par femme, contre 3,94 en 1959.

« L’ISF (indice synthétique de fécondité) du Canada est inférieur au taux de remplacement de 2,1 naissances par femme depuis 1971, ce qui signifie que le nombre de bébés qui naissent n’est pas suffisant pour que la population actuelle puisse se remplacer », affirme Statistique Canada.

« Avec le début de la pandémie COVID-19, il est possible que les taux de natalité aient changé. En outre, si les niveaux d’immigration devaient baisser, les taux de fécondité deviendraient plus importants pour que la croissance démographique soit soutenue ».

Le rapport a également révélé qu’au cours des 60 dernières années, l’âge moyen auquel les femmes ont leur premier enfant a augmenté d’environ 6 ans.

En 1959, l’âge des femmes qui devenaient mère pour le première fois était de 23,2 ans, mais maintenant c’est 29,4 ans,

« Cette tendance, commune à d’autres pays, dont les États-Unis, coïncide avec une participation accrue des femmes âgées de 25 à 54 ans à la population active et une augmentation du nombre de femmes ayant fait des études universitaires », affirme Statistique Canada.

Malgré la baisse des taux de fertilité au Canada, un groupe de défense controversé a appelé les Canadiens à avoir moins d’enfants afin de réduire leur empreinte carbone.

Un certain nombre de panneaux d’affichage érigés par l’organisation World Population Balance appelle les gens à « accélérer les progrès vers une norme de petite famille, conduisant à une population mondiale durable ».

« Nous voulons que le Canada parle de la surpopulation. Un nombre surprenant de journalistes, d’élus et de membres du public ne savent pas que le monde est surpeuplé ou ne sont pas à l’aise pour en parler », a déclaré le directeur exécutif de WPB, Dave Gardner, dans un communiqué de presse.

« [Les gens] ne réalisent pas que la solution à la surpopulation — et à une grande partie de la destruction de l’environnement qu’elle provoque — est simplement d’embrasser la tendance de plus en plus accrue vers des familles plus petites ».

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