Depuis maintenant un an, le gouvernement Legault nous impose une politique liberticide qui est centrée sur le confinement et le couvre-feu. La majorité des Québécois respecte religieusement les mesures sanitaires. Ces derniers sont très disciplinés et dociles. Malgré le fait que le nombre de cas est à la baisse depuis un mois, ce gouvernement liberticide laisse en place ses politiques sanitaires extrêmes.
M. Legault a même eu le culot d’imposer le port du masque aux enfants de six ans. Est-ce que la CAQ donne l’exemple? Les membres du gouvernement respectent-ils leurs propres mesures? Les exemples ci-dessous vont démontrer que le gouvernement méprise les Québécois. Il ne fait pas ce qu’il demande au petit peuple.
Tout d’abord, durant le temps des fêtes, l’administration de la CAQ a dit à la population de ne pas voyager à l’étranger. Mais, elle a permis à un de ses élus, Youri Chasin, de partir en voyage au Pérou.
Ensuite, la semaine dernière, la vice-première ministre Geneviève Guilbeault a dit que ses enfants avaient eu la chance de se faire garder par leurs grands-parents. C’est la même personne qui nous dit depuis un an que nos grands-pères et grands-mères ne peuvent pas voir leurs petits enfants afin de ne pas contracter la COVID-19. Cette personne n’a plus l’autorité morale pour exercer sa fonction de ministre de la Sécurité publique.
Enfin, la semaine dernière, le gouvernement a publié une photo où on voit le premier ministre, ses collègues et le maire Labeaume assis ensemble à une table sans porter de masques. Donc, la CAQ se fout éperdument de ses propres mesures.
Elle impose au petit peuple des règles sanitaires folles mais cela ne s’applique pas à elle. Ce gouvernement regarde le Québécois moyen de haut et le méprise.
En terminant, cela démontre que le gouvernement Legault fait partie de l’élite politique qui méprise le petit peuple et n’a aucun intérêt pour lui. Une bonne partie des Québécois est écœurée de l’establishment politique québécois (la gang des 125). Je crois que ce mécontentement s’est manifesté dans la hausse vertigineuse du membership du PCQ.
Est-ce qu’Éric Duhaime pourra bénéficier d’une vague populiste pour permettre aux conservateurs québécois de finalement faire leur entrée à l’Assemblée nationale? Seul le temps nous le dira. Il faut l’espérer, car le Québec a besoin d’élus qui pourront rompre l’unanimisme du club des 125.