Share on facebook
Share on twitter
Share on email
Share on reddit
Share on linkedin
  • partager
Share on facebook
Share on twitter
Share on email

Les appels pour violence domestique ont augmenté de 142% par rapport à l’année dernière

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on reddit
Share on email

En raison des restrictions imposées pendant la pandémie COVID-19, Halton, en Ontario, a connu une recrudescence de la violence domestique.

Selon la police régionale de Halton, les agents ont répondu à 343 appels concernant la violence entre partenaires intimes (VPI) et ont porté 206 accusations de VPI au cours du premier mois de 2021, soit une augmentation de 142 % par rapport à l’année dernière.

La police de Halton a averti qu’elle pourrait répondre à pas moins de 4000 appels pour violence conjugale d’ici la fin de l’année si la tendance se poursuit.

« Tragiquement, le mois de janvier n’est pas une anomalie », a déclaré la police de Halton dans un communiqué. « Nos analyses indiquent qu’il s’agit de la poursuite d’une tendance à l’augmentation de la fréquence et de la gravité des incidents de violence entre partenaires intimes dans la communauté au cours de la pandémie ».

La police régionale de Halton exhorte les membres de la communauté à faire attention à leurs voisins, parents, amis et collègues, surtout s’ils ne sont pas en sécurité chez eux.

En raison des restrictions de confinement, de nombreux centres d’aide aux victimes au Canada ont dû fermer, le personnel travaillant à domicile et offrant des services de soutien à distance. Cela a conduit des experts médicaux à s’exprimer et plusieurs organisations à tirer la sonnette d’alarme sur l’augmentation de la violence domestique.

Les services d’aide aux victimes au Canada ont signalé une baisse de 92 % des consultations en personne, car ils se sont tournés vers d’autres méthodes pour respecter les restrictions sanitaires.

Des recherches ont montré que l’isolement social, la perte d’emploi et la baisse des revenus contribuent à accroître les risques de VPI.

En outre, le stress accru dû aux fermetures, aux fermetures d’écoles et de garderies et à l’enfermement à la maison pourrait entraîner des tensions accrues au sein des foyers qui ont très peu de possibilités d’échapper à des situations de violence ou de les signaler.

Bien que les restrictions imposées posent de nombreux problèmes, les services d’aide aux victimes sont toujours disponibles.

Pour en lire davantage:

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on reddit
Reddit
Share on email
Email

Les nouvelles à ne pas manquer cette semaine

  • Vous aimeriez aussi
  • Nouvelles semblables