Vous recevez parfois des demandes d’amis non sollicitées sur Facebook de belles femmes vivant en France ? Vous regardez leur profil créé la veille, et les seuls amis qu’elle a, ce sont des Ivoiriens. En réalité, c’est un brouteur qui se cache derrière ces faux profils. Des fraudeurs basés pour la plupart en Afrique, qui tentent d’arnaquer nos concitoyens avec de fausses relations amoureuses. Brisant des vies au passage. Nous devons agir.
Le Journal de Montréal nous apprend que 26 personnes se sont enlevé la vie lors des dernières années en raison d’arnaques amoureuses. Des personnes humiliées, ruinées, qui n’ont pas envie de se confier sur ce qu’elles ont vécu. Des personnes de tous les âges tombent dans le panneau, mais les gens âgés sont davantage ciblées.
La personne derrière l’écran, en Côte d’Ivoire, va tenter une première approche sur Facebook. Dans l’immense majorité des cas, on les voit venir comme un camion dans un magasin de porcelaine. C’est trop gros pour que ça passe. Malheureusement, des gens tombent dans le panneau. D’avoir soudainement une belle femme à l’étranger qui s’intéresse à eux.
Même si son français est laborieux, qu’elle n’a que quelques amis sur Facebook (des Africains pour la plupart). Le gouvernement doit forcer les GAFAM à sévir contre le crime organisé international qui opère depuis l’étranger. Ce n’est pas seulement en Afrique, mais aussi en Asie du Sud-Est. La mafia chinoise a créé de véritables villes où des migrants sont séquestrés, contraints de devoir tenter des fraudes à l’étranger.
Pendant que l’on tente de reporter les faux comptes qui nous envoient des demandes d’amis, ceux-ci ne sont pas inquiétés. Pourtant, lorsqu’on dit un mot de travers sur Facebook, nous sommes immédiatement bloqués pour quelques jours, voire pour le mois au complet. N’est-ce pas paradoxal ? En tout cas, quoi qu’il en soit, le gouvernement a une part de responsabilité là-dedans. De même que les sociétés propriétaires des principaux réseaux sociaux.
26 personnes qui se sont suicidées, et ce n’est qu’au Québec. Combien à l’échelle mondiale ? Il serait difficile d’obtenir les chiffres. Les brouteurs africains brisent des vies, et justifient les actions qu’ils font en raison du colonialisme européen en Afrique. Or, le colonialisme a le dos large pour justifier toutes sortes de crimes et d’abus.
Après, on se demande pourquoi les militants décoloniaux font rouler les yeux de la population. Il n’y a pas de dignité dans la mémoire politique de ces pays. Les dirigeants africains exploitent le ressentiment des populations à l’égard de l’Europe pour justifier l’incompétence, la corruption et le sous-développement.
L’extorsion n’a jamais été une bonne façon de gagner sa vie. Ni de baser quasiment l’économie d’un pays là-dessus. Si ces pays d’Afrique (Côte d’Ivoire, Nigéria pour le monde anglophone) et les pays d’Asie du Sud-Est ne peuvent sévir contre les réseaux criminels, nous devrions tout simplement les sanctionner. Limiter le transfert d’argent vers ces pays, les visas pour les étudiants et les travailleurs temporaires. Des solutions existent, mais nos gouvernements sont dans la plus pure indifférence. Pathétique.