Le gouvernement libéral Trudeau semble avoir renoncé au déficit, puisqu’il promet maintenant un milliard de dollars aux villes canadiennes et aux fournisseurs de logements pour l’achat d’hôtels, de motels et de propriétés à vendre pendant la pandémie.
Le gouvernement a l’intention de transformer ces propriétés en logements sociaux pour les sans-abri ou les chômeurs.
Le déficit canadien pour 2020 s’élèvera probablement à un demi-billion de dollars, voire plus. La frénésie de dépenses de M. Trudeau ne semble pas se ralentir alors que le Premier ministre s’apprête à prononcer son discours du Trône le 23 septembre.
Il devrait annoncer des investissements massifs dans les « énergies renouvelables », un ensemble de technologies coûteuses et inefficaces.
Les plans de « relance verte » vont probablement entraver la reprise économique au Canada. Avec un déficit par habitant parmi les plus élevés au monde, l’avenir économique du Canada semble de plus en plus sombre.
Cette initiative de Justin Trudeau dans le domaine du logement peut sembler absurde aux yeux des observateurs extérieurs. Au lieu de se concentrer sur la nationalisation effective des motels, le Premier ministre devrait veiller à ce que les citoyens canadiens ne se retrouvent pas sans emploi ou sans abri.
L’accent devrait alors être mis sur les secteurs de l’économie canadienne qui peuvent fournir des emplois, en particulier le secteur de l’énergie qui a profondément souffert des politiques anti-énergétiques de Trudeau.
