Le premier ministre du Japon Taro Aso a attaqué l’Organisation Mondiale de la Santé en qualifiant cette dernière de « l’organisation de la santé chinoise », après plusieurs rapports mentionnant les mensonges du régime communiste chinois par rapport à l’épidémie du COVID-19.
« Si l’Organisation Mondiale de la Santé n’avait pas insisté sur le fait que la chine n’avait aucune épidémie de type pneumonie [vers la fin de 2019], le reste du monde aurait pris des précautions », a-t-il affirmé.
La coordonnatrice de l’équipe formée pour combattre la pandémie en sol américain, Deborah Birx, a aussi mentionné que les chiffres « incomplets » fourni par le gouvernement Chinois ont ralentit l’intervention des gouvernements.
« Je crois que lorsque vous regardez les premiers chiffres offerts par la Chine, il était facile de se dire : il y a 20 millions d’individus a Wuhan et 80 million d’individus dans la province de Hubei, et avec un chiffre comme 50,000 infectés, il était facile de croire que c’était plutôt un autre SARS qu’une pandémie globale. »
Un rapport des services secrets américains à annoncé la semaine dernière que la Chine avait manipulé ses chiffres, et des commandes de milliers d’urnes funéraires semblent pointer vers cette direction. Des internautes ont aussi noté que plusieurs compagnies de téléphonie chinoise ont perdues plusieurs millions de clients au moins de février seulement, laissant croire que leur bilan de morts pourrait surpasser les quelques 3,000 recensés par le régime.