Selon le Blacklock’s Reporter, une étude de l’Université d’Ottawa et de l’Université de Sherbrooke a déterminé que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi de faire l’éloge de la Chine et de soutenir les discours chinois plutôt que de se concentrer sur les preuves scientifiques.
« Il est difficile de distinguer les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé fondées sur la science et l’expertise des recommandations politiques », indique le rapport.
« Par exemple, les actions de la Chine ont été louées à de multiples reprises par l’OMS sans contexte ni fondement scientifique ».
Les chercheurs ont constaté que les déclarations publiques incohérentes de l’OMS étaient source de confusion dans le monde entier. En janvier, l’OMS a affirmé qu’il n’y avait « aucune preuve évidente de transmission interhumaine » alors que des rapports suggèrent que des centaines de personnes en Chine avaient déjà contracté le coronavirus.
« L’Organisation mondiale de la santé semble trop éloignée comme source d’information pour pouvoir réduire le stress, l’anxiété et la désinformation », indique le rapport.
Depuis le début de la pandémie de coronavirus, des rapports et des dénonciateurs ont affirmé que la Chine mentait au sujet du virus et de sa propagation. L’OMS a souvent répété les affirmations du régime chinois comme des faits.
Les rapports suggèrent que la Chine continue de cacher le nombre réel de décès causés par le virus dans le pays.
En février, l’OMS a déclaré que les pays ne devraient pas interdire les voyages en provenance de Chine, car cela « interférerait inutilement avec le commerce international ».
Pendant des semaines, l’OMS a fait valoir que la fermeture des frontières nationales ne serait pas une méthode efficace pour contenir le coronavirus, une affirmation que le Canada a suivie bien après qu’une grande partie du monde ait déjà fermé ses frontières.
Le rapport mentionne également le Dr Bruce Aylward, délégué principal du Canada auprès de l’OMS, qui a loué à plusieurs reprises la Chine pour sa « démonstration étonnante » de lutte contre le coronavirus.
Le Dr Aylward a refusé à plusieurs reprises des demandes de témoignage devant la commission de la santé de la Chambre des communes concernant la gestion de la pandémie par l’OMS.
En mars, le Dr Aylward semble avoir raccroché au nez d’un journaliste lors d’une interview où on lui demandait si l’OMS autoriserait un jour Taïwan à rejoindre l’organisation.