Nos voisins du Sud recommencent à vivre après plusieurs mois de confinement. Les États républicains, comme le Texas et la Floride, ont mis fin au confinement il y a quelques mois. Tandis que les États démocrates confineurs, comme la Californie et New York, on a déconfiné récemment. Les partisans des Yankees peuvent aller voir leur équipe au Yankee Stadium (10 000 personnes autorisées). Les Rangers du Texas ont pu jouer dans une salle comble de 38 000 personnes cette semaine.
Ici dans le village gaulois, on vit dans la grande noirceur que représente le régime sanitaire de François Legault. Dans la province du confinisme, les gens ne peuvent pas voir leurs familles et amis. C’est interdit par le roi François 1er. Les policiers donnent des contraventions aux dangereux qui osent aller prendre une marche après 21h30. Après cette heure, le Québec se transforme en zone apocalyptique. Dans ce régime politique du sanitarisme radical, le gouvernement impose le port du masque aux enfants de six ans. Tandis que François Legault n’a pas porté de masque durant une réunion avec ses ministres et le mégalomane maire de Québec. Le roi François 1er va continuer de diriger le Québec d’une main de fer tant et aussi longtemps qu’il y aura des cas de COVID-19. Rien n’arrêtera le leader de la Grande Noirceur.
Pendant combien de temps les Québécois vont endurer cela avant de se réveiller? Ils ne se réveilleront jamais. Le peuple québécois est composé de zombies qui marchent en hordes comme dans Walking Dead. Ils portent le masque tout le temps, même dans la voiture lorsqu’ils sont seuls. Ce peuple dort au gaz et permet au club des 125 de lui imposer un régime autoritaire.
En terminant, je suis pessimiste pour la suite des choses. Les Québécois sont un peuple éteint. Je doute qu’ils aillent se révolter contre ce petit comptable sans envergure qui dirige leur destinée. Je vais conclure avec une citation de l’essayiste Jérôme Blanchet-Gravel : « Le Québec est à mi-chemin entre l’État policier et l’hôpital psychiatrique ». Les fous dirigent l’asile.
