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Pour le bien du pays, Justin Trudeau doit quitter son poste

Après le déluge épidémique, voilà désormais que la crise passe du niveau sanitaire au niveau fédéral, et n’implique rien de moins que le pire Premier ministre que le Canada n’ait jamais eu, Justin Trudeau. Englué dans un scandale qui a toutes les apparences d’une mentalité typiquement « république de banane », Justin Trudeau puise dans les coffres de l’État comme s’il s’agissait de son propre portefeuille, jusqu’au moment où la vérité surgit au grand jour, et qu’il doit malencontreusement faire acte de contrition. Naturellement, il n’y a pas une once de sincérité au sein de ses pleutres excuses de comédien.

En même temps, est-ce vraiment une surprise ? Nous savons déjà depuis un moment que Justin Trudeau est foncièrement indigne du poste qu’il occupe. À la tête de l’exécutif du pays, mais aussi de la fonction publique, une telle charge implique un sens du devoir clairement au-dessus de la moyenne. L’homme qui remplit cette fonction honorifique doit civiliser ses désirs personnels et œuvrer prioritairement pour le bien de la Nation. Il s’agit d’une vocation exigeante et contraignante, qui nécessite une dose d’ascétisme et de stoïcisme. Justin Trudeau, rongé par l’égocentrisme viscéral et une médiocrité d’esprit, est tout simplement incapable de supporter le fardeau de la charge politique.

Dans les « républiques de bananes », le dirigeant politique se sert de l’État comme s’il s’agissait de son propre bien. Plutôt que d’user des fonds publics afin de contribuer au bienêtre de la communauté, l’homme corrompu usera de ces mêmes fonds afin de satisfaire ses désirs, obtenir des faveurs et se procurer des avantages qui ne concernent que sa propre personne, ou son entourage proche. Justin Trudeau s’inscrit dans une telle logique de corruption. Tout au long de son mandat, il n’a cessé de dédaigner la classe populaire, obnubilé par son progressisme clientéliste et son mondialisme liberticide. Il ne gouverne qu’en fonction de sa propre volonté, et délaisse la volonté du Peuple. Il ne voit le peuple canadien que comme un simple fragment de l’humanité, sans particularité propre.

Sans aucun doute, le voyage en Inde fut un moment charnière dans la trajectoire de Justin Trudeau. Il s’agissait d’un point de rupture, comme si le Canada était condamné à sombrer dans l’insignifiance et s’échapper de l’Histoire. La tragique déchéance du Canada, qui s’accomplit sous nos propres yeux, doit être renversée. Nous devons impérativement briser cette fatalité, et ce à partir de la volonté populaire. Au Sud de notre frontière, nous avons un Président qui rapatrie les industries américaines dans le sillon national, galvanise la classe populaire, cherche à protéger le patrimoine civilisationnel, stimule l’exploitation des ressources naturelles et s’inscrit dans une redoutable guerre contre la gauche radicale et la Chine communiste. Le patriotisme des Amériques n’a pas dit son dernier mot.

Le Canada n’a pas à s’effondrer à cause de la scandaleuse démesure d’un seul homme, inapte à diriger le pays dû à sa médiocrité. Incapable de faire régler l’ordre national, empêtré dans une logique de corruption systématique, dictant des politiques économiques absolument dévastatrices, préconisant un règne international totalement amorphe… Le règne de Justin Trudeau est une catastrophe monumentale, et le scandale We Charity sonne l’apogée de la trajectoire. L’heure est au renversement. Il faut redresser le pilier national. Justin Trudeau doit quitter le parlement, et ce pour le bien du pays. Plutôt que le déclin, nous préconisons la gloire et la grandeur, celle qui s’inscrit dignement dans l’Histoire.

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Félix Racine

Félix Racine est présentement étudiant à l'université en Science politique et Philosophie. Attentif à l'actualité politique et sociale, il dénonce le politiquement correct qui affecte l'espace médiatique, politique et académique.

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