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Reportage militant : En Estrie, on annonce l’accouchement d’un « homme trans », mais qui n’est seulement qu’une femme lesbienne

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Radio-Canada, comme vous l’avez remarqué si vous êtes sortis de votre caverne depuis 2015, fait des reportages militants qui souhaitent mettre de l’avant des personnes issues de diverses minorités. Le « scandale » se préparait à éclater en Estrie : un « homme trans » « enceint » est annoncé comme étant le premier à avoir accouché à l’hôpital de Fleurimont. Pourquoi ça n’a pas fait toute une histoire? Simplement parce qu’en réalité, c’est une femme, lesbienne, s’identifiant comme un « homme ». Tour d’horizon des non-nouvelles de Radio-Canada.

Une femme ivoirienne, travaillant pour Trans Estrie, décide d’avoir un enfant. Soit. Elle a toutes les caractéristiques d’une femme : l’apparence, la voix. Mais elle a fait changer la mention de son « genre » sur son permis de conduire : c’est désormais un homme. Mais elle a choisi d’avoir un enfant avant de faire sa transition par la chirurgie et l’hormonothérapie.

Le CHUS a dû se soumettre aux directives idéologiques de Trans Estrie, ainsi qu’un comité EDI. Pour Équité, Diversité, Inclusion. Le porte-parole de l’hôpital affirme que l’hôpital est prêt pour recevoir des « personnes » qui accouchent. De l’aveu même de la nouvelle maman, elle aime bousculer la société. Et Radio-Canada contribue à cette atmosphère sociétale pesante à sa manière.

Radio-Canada produit une quantité inutile de reportages pour mettre en avant des individus qui n’ont de caractéristiques que d’être noirs, ou bien se s’identifier comme des « hommes » (alors qu’ils ont tout d’une femme). La maman a affirmé à la journaliste : ça ne fera pas, me dire, poussez madame lors de l’accouchement.

On brusque à ce moment-là des spécialistes qui se font faire la leçon par des gens sortis d’absolument nulle part, qui vont nous dire c’est quoi le « genre ». Et c’est quoi un « homme » ou une « femme ». Il semble plus facile de définir c’est quoi un « homme » qu’une « femme » par les temps qui courent. Voir le reportage « What is a woman ». Question qui obsède nos philosophes du dimanche incapables d’y répondre.

Bien au-delà de ce fait divers un brin dérangeant, c’est toute la couverture de Radio-Canada qui semble se soumettre aux principes de la « diversité » libérale. On sent une radicalisation du discours depuis tout particulièrement 2019, lorsque Justin Trudeau fut réélu à la tête d’un gouvernement minoritaire. Toutes les émissions y passent : de l’économie au Bye Bye, tout passe par le tordeur idéologique racialiste et de genre.

Encore une fois, personne n’est capable d’y définir des choses comme le racisme environnemental récemment inscrit dans la loi canadienne. Parce que donner une définition, qui n’a pas été dûment approuvée par une « autorité » militante quelconque, serait une forme de violence symbolique. D’où le fait qu’ils donnent toujours la parole aux militants, et jamais aux autorités compétentes.

Par exemple, il semblerait que des gens (qui?) auraient été écartés pour le cas de cet « homme trans » « enceint » qui compte accoucher. Nous aimerions en savoir plus. Qu’est-ce qu’il s’est passé à l’interne? Comment les gynécologues réagissent face à de telles demandes militantes? C’est étrange que rien ne sorte de ces histoires « heureuses » d’accouchement. Comme si de rien n’était.

Bien sûr que cela dérange. Depuis que l’humanité existe, ce n’est que les femmes qui peuvent porter un bébé pour le mettre au monde. Ce qui était le miracle de la vie, et ce qui donne aux femmes cette force de mettre des enfants et de les élever quoiqu’il advienne se sont encore une fois transformés en champ de bataille de la guerre culturelle. Tout comme le fait qu’on évince les femmes de la culture et du sport, en les obligeant à partager leurs vestiaires avec des hommes, c’est probablement par la maternité d’où vient l’attaque la plus vicieuse contre la féminité.

Et Radio-Canada rapporte ça comme si ça allait de soi. Durant les années 70, au sommet de la lutte pour la « libération sexuelle », des hommes ont milité pour reconnaître le « droit à l’amour » des enfants envers les adultes. C’est un terme feutré pour permettre la pédophilie. Des intellectuels comme Jean-Paul Sarte et Michel Foucault ont signé des tribunes en faveur de la légalisation de la pédophilie. Le journal Libération s’en est fait le porte-parole. De nos jours, Foucault comme Sartre ont été jugés par l’histoire comme des violeurs d’enfants. Et plus personne n’ose défendre « l’amour des adultes pour les enfants ».

Pourquoi il en serait différent pour les enfants trans ou les « hommes trans » qui accouchent? Ces choses vont aussi mal vieillir que la tribune de Libération pour « l’amour entre adultes et enfants ». Et il est probable que dans un monde futur, l’on juge même au criminel des gens ayant mené des expériences médicales sur des enfants à qui l’on a donné des bloqueurs de puberté. Quant aux « hommes trans » qui accouchent, ils seront vus comme une expérience sociale anecdotique. Qui fera l’objet de reportages quand les enfants briseront le silence quant à ce genre de vie hors-norme. Reportage qui sera probablement réalisé par Radio-Canada, qui aura changé de fusil d’épaule lors d’un changement de régime idéologique.

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