L’Alberta compte désormais le taux de testage le plus élevé du monde entier, et Jason Kenney, premier ministre de la province, a affirmé en entrevue à CBC qu’il « ne fallait pas attendre après Santé Canada » pour approuver des nouvelles médications, tests et vaccins.
La réaction de la chef de l’Agence de la santé publique du Canada à ces propos a été d’aviser contre la qualité potentielle de ces nouvelles méthodes. « Si vous accélérez le processus et vous vous retrouvez avec des tests qui ne sont pas précis, cela devient un risque pour la santé, non? », a rétorqué Theresa Tam sur Twitter.
Jason Kenney n’a pas su garder sa langue dans sa poche : « C’est cette même Dr. Tam qui nous disait qu’il ne fallait pas fermer les frontières avec des pays étant hautement infectés et qui, en janvier, ne faisait que répéter l’argumentaire de la Chine par rapport à l’absence de preuve de transmission d’humain à humain. »
Le 29 Janvier, Tam vantait publiquement l’argumentaire du gouvernement chinois qui était alors objectivement faux et déceptif. Cette dernière répétait la propagande du régime chinois sans jamais avoir vérifié l’objectivité des faits rapportés.
Tam se montrait alors plus inquiète par rapport à la montée de la « stigmatisation » que du coronavirus de Wuhan.
Lorsque questionnée sur la fermeture potentielle des frontières le 3 février entre le Canada et la Chine, Tam s’est positionnée contre cette mesure en affirmant que cela pourrait stigmatiser la Chine, et qu’il faut plutôt « supporter le régime chinois ».
Les figures de santé publiques (incluant la ministre de la Santé canadienne) et l’OMS se sont montrés faibles et malhonnêtes au courant de la crise, et leur absence d’action sérieuse a certainement contribué à l’ampleur de la pandémie.
Les hauts-placés du gouvernement en matière de santé doivent être objectifs et à l’abris de l’influence du régime communiste chinois. Ils doivent questionner chaque chiffre, chaque affirmation qui sort de la bouche du parti communiste à Beijing.