Comment expliquer la situation actuelle sans pour autant décrier des mesures, poser des questions, et appliquer des solutions. Jamais un premier ministre au Québec n’aura eu un tel mandat. Nous avons donné nos votes à un parti qui voulait changer les choses, proposer de nouvelles idées et finalement entraîner le Québec avec lui dans son héritage culturel.
CAQ
Le peuple sera ainsi progressivement soumis sous le contrôle d’une clique de petits dictateurs. Qui sont-ils ?
Selon le dernier sondage Léger markéting, la Coalition Avenir Québec (CAQ) de François Legault domine complètement le paysage politique québécois. La CAQ obtient 48 % des voix, contre seulement 22 % pour le PLQ, 17 % pour le PQ et 11 % pour Québec solidaire.
Le monde est frappé par une pandémie de COVID-19 qui va laisser des traces sur le plan économique. La fermeture des frontières avec l’Europe et les États-Unis va avoir des effets directs sur l’économie du pays. Les magasins ferment les uns après les autres et tous les secteurs économiques sont touchés par cette crise du coronavirus. Des pertes d’emplois sont à prévoir à court et moyen terme. Donc, les compagnies et les travailleurs ont besoin de soutien. Lors des derniers jours, les gouvernements Legault et Trudeau ont annoncé des mesures pour aider les entreprises et contribuables à passer au travers de la récession économique qui va frapper tôt ou tard le monde occidental.
Mardi dernier, le ministre des Finances du Québec Eric Girard a présenté son deuxième budget, qui était axé sur l’environnement, la culture et les investissements dans les transports, l’éducation et la santé. La hausse des dépenses s’élève à 5% et il n’y aucune baisse d’impôts. Donc, c’est un budget dans la continuité.
Dès le 2 octobre 2018, au lendemain de l’élection du gouvernent de la Coalition Avenir Québec dirigée par le premier ministre élu François Legault, ses opposants les plus farouches ont fait circuler une insidieuse théorie niant les résultats officiels du Directeur général des élections du Québec. Même les libéraux s’y sont essayés, mais leurs trolls ont fini par lâcher prise en se rappelant que ce calcul biaisé faisait perdre des plumes à leurs ex-chefs.