Le matin du 7 avril, les médias nous confirmaient ce que j’appréhendais depuis le 24 mars dernier, soit la remise en liberté de centaines de criminels avant leur admissibilité à une libération conditionnelle. Le 24 mars dernier, lorsque le Sénat adoptait la loi C-13, je questionnais le ministre Blair sur ces éventuelles libérations. Ses réponses étaient évasives et ne m’ont pas convaincu de la logique de cette décision.