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Transgenre dans une prison pour femmes : où est la limite contre le bon sens?

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La Presse nous apprenait qu’une personne trans, s’identifiant désormais comme une « femme », vivait une peine de prison particulièrement difficile, en étant isolée des autres détenues. Comme d’habitude, l’article ne remet pas en question ce qui est une absence totale de bon sens. Pour en faire un résumé court, la place d’un homme qui s’identifie comme une « femme » n’est pas dans une prison pour femmes. Tout simplement.

Krystel Lauzon, 39 ans, s’est fait prendre la main dans le sac à partager de la pédopornographie mettant en scène des enfants encore en couche, et des animaux. Celui-ci considère que la pédophilie est une « orientation sexuelle » comme les autres. Les fichiers partagés sont considérés au sommet de l’échelle de gravité pour la pornographie juvénile.

Mais bon, on s’émeut des conditions de détention, car cette personne serait isolée des autres détenues. D’ailleurs, il est mentionné dans l’article que celui-ci a empiré depuis sa première condamnation. Qu’est-ce que cela dit? Que la personne peut représenter un danger pour les autres. On se demande ainsi ce que Krystel Lauzon fait dans une prison pour les femmes.

En Europe, on a rapporté des cas de femmes violées et battues par des personnes trans en prison. JK Rowling en a d’ailleurs parlé publiquement sur Twitter. Il s’agit maintenant d’une simple auto-identification, pour que la personne puisse soudainement changer de « genre » et être envoyée dans une prison pour femmes, aux conditions moins éprouvantes que celles pour les hommes.

D’ailleurs, ce qui est intéressant, c’est que des militants anti-carcéraux d’extrême gauche prônent l’abolition des prisons pour les femmes seulement, car celles-ci souffriraient énormément d’être isolées de leurs proches. Et les hommes, dans tout ça? Bien sûr, pas un mot sur eux. Mais pour en revenir à nos moutons, le cas de Krystel Lauzon est particulier.

Pourquoi est-il (ou elle) en isolement? Y a-t-il eu des menaces sur sa personne? Ou c’est au contraire des menaces qu’il aurait proférées à l’égard des autres détenues? Pas un mot là-dessus. La Presse se fait avare de commentaires sur les circonstances de l’isolement. D’ailleurs, quels sont les critères pour permettre à une personne trans de rejoindre une prison de « l’autre genre »? Une simple auto-identification suffit-elle?

Et même s’il y avait opération sur les parties génitales, cela ne change rien au fait que les hommes devenus trans par chirurgie ont quand même un taux de testostérone beaucoup plus élevé, et un physique bien plus imposant. Les hommes sont généralement beaucoup plus forts physiquement que les femmes, et cela peut représenter un danger dans une prison où les détenues sont des femmes.

Mais bon, ce n’est pas ce qui compte dans notre société soumise à la rectitude politique. Où l’on se fie sur la parole des gens, bien plus qu’à la science, ou au bon sens commun de milliers d’années nous ayant précédées. Cette histoire montre une fois de plus la bizarrerie de notre époque où n’importe qui peut être transféré dans une prison pour femmes sur la base de simples déclarations. Un peu comme de dire qu’un loup peut entrer dans la bergerie, car on l’identifie à un chien de berger. Bienvenue dans le meilleur des mondes.

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